LA PREVIEW DE AVENGERS #25 PAR WALTER SIMONSON

Une petite preview ce soir, mais pas n'importe laquelle. On met le cap sur Avengers #25 signé Brian Bendis, pour ne pas changer (encore que son très long règne touche à son terme) et au dessin, le grand Walter Simonson, si rare mais si apprécié des fans. Pour l'occasion, Captain America a déclaré la guerre aux X-Men. Vous ne rêvez pas, nous sommes toujours en plein Avengers Vs X-Men, que nous chroniquerons dans le détail sur ce site, en temps et en heure. Avec le Phénix qui se rapproche dangereusement, et les Avengers contraints de s'unir pour sauver la Terre, rien que ça! Reste à savoir, et ce sera le thème de ce numéro 25, qui seront les Vengeurs qui rallieront Cap pour nous sauver les fesses. Admirez.







MARK MILLAR ET LEINIL YU LANCENT SUPERCROOKS

Alors que Superior est pour très bientôt en Vf (chez Panini), la nouvelle mini série signée Mark Millar vient de voir le jour aux Etats-Unis. Supercrooks, c'est son nom, bénéficie de l'apport de Leinil Yu aux dessins (Secret Invasion), qui s'applique un tantinet plus que sur ses derniers travaux. Une prestation remarquée. Sinon, de quoi s'agit-il? Le récit semble s'orienter principalement autour de Johnny Bolt, et de sa copine (femme, même, sauf qu'il l'a plantée le jour de la cérémonie de mariage pour aller faire un casse dans une bijouterie. Du coup, l'idiot a fini directement en prison), des malfaiteurs cambrioleurs pas vernis, qui ont un gros problème avec la communauté super héroïque. Sans les surhommes en collants, ils seraient riches, et respectés. A cause des justiciers en spandex, leurs ambitions se fracassent contre la justice expéditive des forces du bien (Millar nous apprend qu'il y a plus de 200 héros dans le pays, tout de même). Du coup Johnny a une idée lumineuse : pour sortir son mentor de la mouise, qui s'est fait pincer la main dans le sac dans un casino, en train de tricher à la roulette avec un complice télépathe, il décide de mettre le cap sur l'Espagne, qui c'est bien connu, ne possède pas de "Captain Spain" comme il l'affirme benoîtement. Au passage, le héros par excellence, la figure d'empêcher de voler en rond, c'est Gladiator, une sorte de Captain America un peu plus couillu (la scène d'arrestation dans le métro est savoureuse), tandis que la bande de malfrats que nous apprenons à connaître ressemble vaguement (costumes bariolés en moins) aux Lascars de sinistre mémoire, pour Flash. Comme d'habitude, les attentes sont fortes pour Millar, et le public n'a qu'une seule envie, qu'on lui botte les fesses et lui donne une bonne histoire à lire. Le début n'est pas mauvais, et tient assez bien la route. Reste maintenant à savoir ce qui va se passer de l'autre coté de l'Atlantique, au pays des tapas. La suite au prochain numéro...



LA NUIT DES LANTERNES CHEZ DELCOURT : LE DEUIL, LA COLÈRE, L'HORREUR

 Le personnage principal de cet album signé Jean-Étienne s'appelle Eloane. C'est une jeune femme qui retourne dans la maison familia...