Ne l'oubliez tout de même pas, il y a eu de la vie avant le reboot. D'ailleurs, Panini tire ses dernières salves, pour ce qui est du catalogue Dc. Avant de connaître véritablement le destin du kiosque sous l'ère Urban Comics(assez flou pour le moment), intéressons nous à la nouvelle série dédiée à Flash, où plus précisément à Barry Allen, écrite remarquablement par Geoff Johns. Un Barry qui est donc de retour à Central City, qui a repris du service en tant que scientifique dans la police (il s'occupe des "cold case", et ça fait très tendance, vu que depuis quelques années la tv s'est emparée de la profession) et qui est toujours mariée avec Iris West, la belle journaliste. Tout irait bien dans le meilleur des mondes, si à l'impromptu n'apparaissait pas le cadavre d'une version alternative du Maître des miroirs. Le pire étant quand une équipe composée de Lascars (les Renégats) venus du XXV° siècle entre en scène, et accuse le bolide du meurtre. Cette force d'intervention très particulière représente la loi, dans le futur, et a pour mission de rentrer à son époque avec Barry, pour le soumettre à un procès. Pendant ce temps là, les Lascars, les vrais, ceux de notre époque, mijotent de nouveaux mauvais coups, et soumettent Captain Boomerang à une sorte de test : à peine ressuscité d'entre les morts (un des effets de la lumière blanche de Brightest Day), il va devoir prouver sa valeur et qu'il mérite encore sa place parmi ses amis les criminels. Avec en première mesure, s'évader du quartier de haute sécurité de la prison, et bien entendu, aller retrouver Flash, son ennemi juré, histoire de bien prouver qu'il n'a pas perdu la main en perdant la vie. Quand tout s'enchaîne aussi mal, on appelle ça la loi des séries?
Bien sur, avec Flash, il vaut mieux ne pas être allergique aux bonds temporels, et aux histoires de couloirs du temps. Ce serait d'autant plus dommage que ce numéro de DC Heroes est vraiment bon. Après tout, cette fois, ce récit qui met en scène héros du XXV° et du XXI° siècle reste facilement compréhensible, et assez linéaire, pour peu qu'on connaisse un minimum le bolide écarlate. Les dessins de Francis Manapul sont très agréables, et ils collent très bien au ton général qui se dégage de cette nouvelle série. Il est épaulé avec talent par le coloriste (Buccellato) qui use de teinte cuivrée, orangée, ou bistre, bien constratées par les blancs de fond de case. Et surtout, disons le franchement : c'est dans cet album que commencent à germer les graînes qui vont faire imploser l'univers Dc, et provoquer le plus grand relaunch de l'hsitoire du comic-book. Lisez bien les dernières planches, et vous verrez que la conclusion de ce récit provoque en Flash une certaine réaction. Après tout nous avons affaire à quelqu'un qui peut voyager dans le temps, grâce à la Force Véloce, et donc modifier l'histoire, s'il lui en venait l'idée. Heureusement que Barry est un être raisonnable et qu'il pondère bien tous ses choix, mais personne n'est infaillible, après tout. Vous souhaitez lire la suite? Les épisodes 1 à 6 sont donc présents ici, le numéro 7, lié à Brightest Day, risque bien de partir en fumée (rien de prévu, à ce jour, chez Urban Comics). Par contre, du numéro 8 jusqu'au grand "event" Flashpoint, un mensuel temporaire (en trois parutions) est prévu chez Dargaud, dès fin février. En attendant, je recommande fortement ce Dc Heroes de Panini, dernier du nom.
Rating : OOOOO
Bien sur, avec Flash, il vaut mieux ne pas être allergique aux bonds temporels, et aux histoires de couloirs du temps. Ce serait d'autant plus dommage que ce numéro de DC Heroes est vraiment bon. Après tout, cette fois, ce récit qui met en scène héros du XXV° et du XXI° siècle reste facilement compréhensible, et assez linéaire, pour peu qu'on connaisse un minimum le bolide écarlate. Les dessins de Francis Manapul sont très agréables, et ils collent très bien au ton général qui se dégage de cette nouvelle série. Il est épaulé avec talent par le coloriste (Buccellato) qui use de teinte cuivrée, orangée, ou bistre, bien constratées par les blancs de fond de case. Et surtout, disons le franchement : c'est dans cet album que commencent à germer les graînes qui vont faire imploser l'univers Dc, et provoquer le plus grand relaunch de l'hsitoire du comic-book. Lisez bien les dernières planches, et vous verrez que la conclusion de ce récit provoque en Flash une certaine réaction. Après tout nous avons affaire à quelqu'un qui peut voyager dans le temps, grâce à la Force Véloce, et donc modifier l'histoire, s'il lui en venait l'idée. Heureusement que Barry est un être raisonnable et qu'il pondère bien tous ses choix, mais personne n'est infaillible, après tout. Vous souhaitez lire la suite? Les épisodes 1 à 6 sont donc présents ici, le numéro 7, lié à Brightest Day, risque bien de partir en fumée (rien de prévu, à ce jour, chez Urban Comics). Par contre, du numéro 8 jusqu'au grand "event" Flashpoint, un mensuel temporaire (en trois parutions) est prévu chez Dargaud, dès fin février. En attendant, je recommande fortement ce Dc Heroes de Panini, dernier du nom.
Rating : OOOOO