THE FALCON : LES ANNEES 80 DE SAM WILSON DANS UN RECIT COMPLET MARVEL LUG
THE RESISTANCE : LE MONDE D'APRES SELON STRACZYNSKI ET DEODATO
Il est possible que vous gardiez de très bons souvenirs de lecture grâce à Straczynski, il est possible aussi que ces derniers temps vous vous soyez posé la question de savoir ce qu'il devenait vraiment... Dorénavant c'est chez AWA Upshot que vous pourrez le retrouver, et c'est Panini Comics qui a décroché la licence de ses nouveaux travaux. Ici on retrouve tout de même des thèmes et une manière de raconter l'histoire qui était déjà présents dans la série Rising Stars par exemple. The Resistance développe différents sujets en parallèle, comme celui d'une communauté de personnes banales qui se découvrent peu à peu des pouvoirs, la manière dont ils vont s'en servir, mais aussi comment le monde réagit, alors qu'il est au bord du chaos, avec parfois des décisions très fortes qui sont prises, sans tenir compte des pertes humaines ou des conséquences sur le tissu social et libertaire (la Chine ne fait pas dans le détail). L'auteur a aussi l'intelligence de placer son regard à hauteur de chef d'État de ceux qui doivent prendre des décisions, car il faut bien le dire, même si certaines sont totalement discutables, il faut bien se salir les mains et anticiper pour éviter l'effondrement. Et le lecteur s'amuse, et s'indigne, avec ces pseudos héros qui acceptent d'être coachés, sponsorisés, en échange d'une triste existence à faire du télé crochet ou des inaugurations de supermarché. Tous ne sont pas ainsi, certains "résistent" et conservent un minimum de dignité, d'envie réelle d'être au service des autres, d'aider. Bref, c'est un nouvel univers narratif qui nait sous vos yeux. Straczynski a prévenu, il est ouvert à tous, va se compléter, s'étoffer, c'est un terrain de jeu passionnant à explorer. Et pour une première salve, quoi de mieux que Mike Deodato aux dessins, dont le trait ultra léché et l'attention aux détails font mouche, une fois encore? The Resistance comme une évidence, le genre d'album devant lequel il n'existe pas, en fait, de raison de faire l'impasse.
LE PODCAST LE BULLEUR PRESENTE : LEONARD COHEN SUR UN FIL
- La réedition en version intégrale de Paco les mains rouges, album que l’on doit au scénario de Fabien Vehlmann, au dessin d’Éric Sagot et c’est édité chez Dargaud.
- La sortie de l’album Larkia, un one shot que l’on doit au scénario d’Ingrid Chabbert, au dessin de Patricio Angel Delpeche et c’est édité chez Glénat
- La sortie de l’album Il est où le patron ? Chroniques de paysannes, one shot que l’on doit au scénario du groupe Les paysannes en polaire, au dessin de Maud Bénézit et c’est édité chez Marabulles
- La sortie de l’album Monaco - luxe, crime et corruption, enquête que l’on doit au scénario d’Hélène Constanty, au dessin de Thierry Chavant et c’est édité chez Soleil
- La sortie de l’album Les mains de Ginette, titre que l’on doit au scénario d’Olivier Ka, au dessin de Marion Duclos et c’est édité chez Delcourt
- La sortie de l’album La folle histoire de la mondialisation, titre que l’on doit au scénario conjoint de Sébastien Jean et Isabelle Bensidoun, au dessin d’Enzo et c’est édité aux Arènes BD
Pour écouter le podcast :
THE FALCON AND THE WINTER SOLDIER SUR DISNEY + : ENVOL REUSSI
Soyons honnêtes un instant, lorsque j'ai vu la bande-annonce de la série du Faucon et du Soldat de l'hiver, ma première réaction a été négative, et ce fut presque épidermique. L'idée que je m'en faisais était celle d'une baston gigantesque étalée sur de nombreux épisodes, pour un public totalement décérébré et déjà acquis à la cause Marvel. Aussi je commencerai cet article par un sincère mea culpa, tant le premier épisode m'a semblé intéressant, avec des personnages bien campés, dont la psychologie et les affres sont plaisamment exposés au spectateur.
L'INTEGRALE ALPHA FLIGHT 1978-1984 : JOHN BYRNE ET LES 80'S CHEZ PANINI
LE PODCAST LE BULLEUR PRESENTE : L'ENTAILLE
- La sortie du premier épisode de la série Amen intitulé Ishoa ou la précession des équinoxes, nous la devons au scénario et au dessin de Georges Bess et c'est édité chez Glénat
- La sortie de l'album Le don de Rachel, que l'on doit à Anne-Caroline Pandolfo pour le scénario et Terkel Rijsberg pour le dessin et c'est édité chez Casterman
- La sortie de l'intégrale Napoléon, supervisée par l’historien Jean Tulard, avec un scénario de Noël Simsolo et un dessin de Fabrizio Fiorentino et c'est édité conjointement chez Glénat et Fayard
- La sortie de l'album Magical Mystery June que l'on doit à Ève-Marie et c'est édité chez Expé-éditions
- La sortie de l'album Dans la gueule du loup que l'on doit au récit d'Anne Nivat qui a été adapté pour l'occasion par Jean-Marc Thévenet et mis en dessin par Horne et c'est édité chez Marabulles
- La sortie de l'album Sortie d'usine que l'on doit à Benjamin Carle et aux éditions Steinkis
Ecoutez le podcast ici :
FLASH / ZAGOR LE CROSSOVER BONELLI / DC COMICS
Nous y sommes. Numéro zéro pour le crossover entre Flash, le bolide de DC Comics, et Zagor, personnage iconique de la maison d'édition italienne Sergio Bonelli. A priori rien ne les rapproche, et pourtant, après Batman/Dylan Dog, voici donc un nouveau crossover inédit et particulièrement intéressant. Tout savoir sur Flash/Zagor, de Giovanni Masi, Mauro Uzzeo et Davide Gianfelice, en quatre minutes, dans cette vidéo :
YEAR ZERO : COMMENT VIVRE SA PROPRE EPIDEMIE "ZOMBIES"
Pour dessiner tout ceci, le choix est tombé sur Ramon Rosanas. Ce n'était pas gagné d'avance car ce dessinateur m'a souvent semblé parfait pour une histoire peu sérieuse, avec de l'humour et de la légèreté, et ici, et bien c'est un peu le contraire complet. Pourtant tout fonctionne, s'agence, car en fait le spectaculaire est banni au profit des émotions, de l'instant saisi sur le vif, et l'artiste est très doué pour que le message, c'est à dire les sentiments, parviennent jusqu'au lecteur. La couleur est d'un grand secours, et on appréciera le job monstrueux de Lee Loughridge. Impossible de clore cet article sans mentionner les couvertures originales de la série, de petits bijoux photo réalistes de Kaare Andrews, teintés d'une douce ironie, qui respectent pleinement le concept. L'arrivée d'AWA Upshot en France est donc remarquée et remarquable, avec dès ce mois de mars deux premiers titres chez Panini Comics, le second étant The Resistance de Straczynski et Deodato, qui fera l'objet d'une chronique future, très probablement. Autre bonne nouvelle, c'est du bon!
LE PODCAST LE BULLEUR PRÉSENTE : LE CHOIX DU CHÔMAGE
Dans le 84e épisode de son podcast, Le bulleur vous présente l'album Le choix du chômage que l'on doit au scénario de Benoit Collombat et au dessin de Damien Cuvillier, accompagné d'une préface signée Ken Loach. L'album est édité chez Futuropolis. Cette semaine aussi, le podcast revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie du premier tome de la série Le ministère secret intitulé Héros de la République. Nous devons cette série au scénario de Joann Sfar et au dessin de Mathieu Sapin et c'est disponible chez Dupuis
- La sortie de Wild Bill, titre du deuxième tome de la série Wild West que l'on doit au scénario de Thierry Gloris et au dessin de Jacques Lamontagne et c'est édité chez Dupuis
- La sortie de l'album Le regard d'un père que l'on doit au scénario et au dessin de Laurent Bonneau et c'est édité chez Des ronds dans l'O
- La sortie de l'album Le combat du siècle que l'on doit au scénario de Loulou Dedola et au dessin de Luca Ferrara et c'est édité chez Futuropolis
- La sortie de l'album Nowhere Girl que l'on doit au scénario et au dessin de Magali Le Huche et c'est disponible chez Dargaud
- La sortie de l'album Une histoire du velvet underground que l'on doit au scénario et au dessin de Prosperi Buri et c'est édité chez Dargaud
JUPITER'S LEGACY : L'HEURE DES REVISIONS AVEC LE PETIT BIJOU DE MARK MILLAR
Que ce soit avec The Authority, Civil War, Superman Red Son ou bien les Ultimates, Mark Millar a toujours pris plaisir à mélanger le monde fantastique du superhéroïsme avec celui beaucoup plus réaliste et cynique de la politique américaine et internationale. Ce style particulièrement acide et qui donne de l'urticaire est la marque de fabrique d'un scénariste incontournable, qui a choisi ces dernières années de fonder son propre label pour tisser un univers en marge des grosses compagnies du comic book. Avec Jupiter's Legacy, Mark Millar ne se dément pas et va même encore plus loin, si cela est possible, dans le concept de méta-humains qu'il a mis sur pied. Ici les super-héros existent depuis les années 30 (le récit démarre en 1932, année où est apparu le Superman de Siegel et Shuster) et ils ont aidé l'humanité à venir à bout des plus grands ennemis de l'Histoire, à savoir la Grande Dépression en 1929 puis la Seconde Guerre mondiale. L'Utopien et sa femme Lady Liberty ont pris en main le monde entier et ce sont leurs exploits qui ont guidé l'humanité jusqu'au 21e siècle; puis ils ont eu deux fils, Chloé et Brandon, les co-protagonistes de cette histoire, qui doivent assumer l'héritage de leurs parents et accepter d'être bien malgré eux d'être les stars du moment, à une heure ou une nouvelle crise financière est en train de détruire l'économie et ou des nouveaux théâtres de guerre apparaissent chaque jour sur le globe. Mais est-ce bien quelque chose qui les intéresse..? Ces deux-là ont tout un tas de problèmes, ce sont des enfants gâtés et malmenés, ils cherchent la célébrité et versent dans les excès. En gros c'est un peu comme si vous aviez confié des supers pouvoirs à Lady Gaga ou Paris Hilton... ils manquent de cet esprit altruiste et de cette éthique morale qui sont nécessaires lorsqu'on revêt un costume de super-héros et qu'on a pour mission de protéger les plus faibles contre les super vilains. On retrouve la fille en situation d'overdose et avec une grossesse inattendue, alors que le fiston fréquente les boîtes branchés et branchent les filles dans les toilettes. Les pauvres n'ont rien demandé, après tout!
La relation entre parents et fils ressemble parfois à une tragédie shakespearienne aux accents oedipiens. Difficile de grandir sainement quand les modèles parentaux sont des parangons de vertu, des êtres aux super-pouvoirs toujours parfait, gentils, efficaces, serviables. La mère de Chloe, à presque cent ans, reste une femme belle et entourée de soupirants, qui fait de l'ombre à sa fille, par exemple. Reste un cas d'école, l'oncle Walter, doté d'un cerveau super développé et capable de manipuler les esprits, féru d'économie, qui souhaite redresser les finances de la planète par le biais d'un système qui lui est propre, sans scrupules, tel un apprenti sorcier. Millar s'en donne à cœur joie et ne cesse de surprendre le lecteur avec de nombreux coups de théâtre et un changement imprévu de direction en cours de route. Ses personnages sont intéressants car non seulement ils incarnent le révisionnisme super héroïque, à savoir cette nouvelle génération de héros plus réalistes et modernes, qui supplantent les anciens, mais ils sont aussi l'essence même de ce qui permet au lecteur de s'évader de la réalité et de se fondre dans un récit en bande dessinée. Chloé et Brandon sont ouvertement les créatures putatives d'auteurs comme Alan Moore et Frank Miller, et cet album est chargé en clin d'œil et citations de Hamlet à King Kong en passant par la série Lost ou Star Wars. L'héroïsme est passé à la moulinette post-moderne de la praticité, de la réalité géo-politique et de ses enjeux, puis digéré et assimilé par l'esprit nihiliste des temps qui rend toute chose, tout espoir, aussi vain qu'illusoire. Frank Quitely se charge d'illustrer l'ensemble avec le style particulier qui lui est propre, délaissant les fonds de case et le détail réaliste pour se concentrer sur les personnages, leurs luttes intestines, leurs déboires. Un parti pris vers l'humanisation de super humains. Dans Jupiter's Legacy Millar réussit même à se citer lui-même à plusieurs reprises; pour produire en bout de course une œuvre dérangeante, véritablement intrigante, qui fonctionne à plusieurs niveaux et qui vient nous rappeler combien le génial écossais est un auteur de grand talent, qui manque cruellement au grandes majors du comic-book américain, qui n'ont ni les moyens ni la verve nécessaire, la plupart du temps, pour se libérer des carcans et produire des oeuvres aussi originales et marquantes.
EMPYRE : LE TOP DEPART CHEZ PANINI COMICS
LE PODCAST LE BULLEUR PRESENTE : FACTEUR POUR FEMMES livre 2
Dans le 83e épisode de son podcast, Le bulleur vous présente la seconde partie de la bande dessinée Facteur pour femmes, album que l'on doit au scénario de Didier Quella-Guyot et au dessin d'Emmanuel Cassier et c'est édité chez Bamboo dans la collection Grand angle. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l'album Jusqu'ici tout va bien que l'on doit à Jaromir 99 à partir d'un roman de jan Nowak et c'est édité chez Presque Lune
- La sortie de l'album Comme par hasard que l'on doit à Cyril Bonin au scénario comme au dessin et c'est édité chez Glénat
- La sortie de Fukushima, un one shot que l'on doit au scénario de Bertrand Galic et au dessin de Roger Vidal et c'est édité chez Glénat
- La sortie de l'album L'esprit critique que l'on doit au scénario d'Isabelle Bauthian et au dessin de Gally et c'est édité chez Delcourt
- La sortie de l'album Mémento Mori, album que l'on doit à la Finlandaise Tiitu Takalo et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l'album Le peintre hors-la-loi que l'on doit au scénario et au dessin de Franz Duchazeau et c'est édité chez Casterman
WONDER WOMAN 1984 : LA CRITIQUE D'UN FILM QUI N'AURA PAS CONNU LE CINEMA (EN FRANCE)
Nous retrouvons une seconde fois Diana, dans un rôle d'anthropologue, chargée d'étudier des trésors anciens, les mystères de civilisations oubliées. Tout ceci alors qu'autour d'elle et de son musée se manifestent les ravages d'une époque qui fait du succès, de l'argent, du consumérisme, une nouvelle religion qui en veut toujours plus. C'est pourquoi l'objectif s'attarde sur Maxwell Lord (Pedro Pascal), homme d'affaires et phénomène médiatique vivant (aux faux airs de Donald Trump première mouture), contraint de toujours réciter le même slogan: "la vie est belle, mais elle peut être meilleure". Si vous voulez quelque chose, soyez prêt à l'obtenir en utilisant tous les moyens nécessaires, même les plus sinistres. Une devise qui devient un mantra, et la soif de gloire commence lentement à consumer un individu qui a aussi des failles, à commencer par le besoin d'être aimé, considéré, surtout par un fils qui a déjà perdu pas mal de ses illusions. Barbara Minerva (Kristen Wiig), la nouvelle collègue au travail de Diana, perpétuellement moquée et ridiculisée par sa gaucherie, est vite enchantée par la charge vitale et énergique de l'escroc, qui va parvenir à lui retourner la tête, au point de dérober un artefact qui va changer la face du monde, et la transformer en la redoutable Cheetah, prédatrice sauvage et inhumaine.
Wonder Woman 1984 présente un méchant étonnamment efficace, bien que conditionné par une évolution personnelle assez prévisible. Pedro Pascal propose une interprétation qui mérite un chapitre à part. Si dans le film précédent de 2017 Gal Gadot devait faire face à des menaces conceptuellement dangereuses mais assez ridicules du point de l'acting pur et simple, le second opus peut maintenant endiguer ce problème avec un ennemi dont la gouaille et l'agitation perpétuelle ajoutent un peu de sel, et prête à sourire pour les raisons déjà évoquées plus avant (Trump lookalike). Max Lord est un personnage capable de manipuler n'importe quel individu qui l'approche: exploitant un pouvoir particulier -que nous choisissons de ne pas décrire en détail, sous peine de spoiler une grosse partie des enjeux- il étend son désir de rédemption et de vengeance à travers toutes les vies humaines de ceux qui veulent ardemment suivre sa devise. Du coup, le mensonge occupe plus de place que le concept pourtant à la base de nos relations interpersonnelles, à savoir la vérité. Un mot que Wonder Woman incarne à elle seule, même si trop absorbée par des pensées centrées sur le seul versant sentimental de sa vie, avec Steve Trevor (Chris Pine). Le choc idéologique entre vérité et mensonge, manipulation et acceptation d'une vie modérée, dépasse de loin le caractère spectaculaire des séquences d'action en termes d'enjeux purs de ce second film. Problème, et pas des moindres, la mièvrerie avec laquelle Diana semble s'auto définir par rapport au regard et aux sentiments de Steve, et la bêtise irritante de l'acteur incarnant ce boyfriend sans saveur, sans épaisseur, une figure de mode (des eighties) aussi vide qu'un discours de Jean Castex.
UNIVERSCOMICS LE MAG' #9 : LES ANNEES 90
Téléchargez la version PDF ici :
http://dl.free.fr/otP2lOTRd
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Pour lire en ligne :
https://madmagz.com/fr/magazine/1864736
LES ANNEES 90
Sommaire :
* Image Comics, success story des 90's. Image Comics
* L'Ere d'Apocalypse, l'événement mutant
* Gambit. Tout sur le cajun avec Anthony Huard
* Lectures 90's. Que lire ou relire dès que possible?
* La saga du clone. Des tisseurs partout avec Alexandre Chierchia
* Interview : Luca Parrillo. Avec Filippo Marzo de Comics Reporter
* Story : Deadpool (qui fête ses 30 ans). Que lire du personnage?
* Le portfolio du mois de mars
* PREVIEW! Les premières pages du Retour du Messie, sortie le 31 mars chez Delcourt Comics.
* Petite sélection des sorties Vf de mars
Comme toujours, le Mag' est gratuit, et ses pages sont ouvertes à toutes et à tous. Lecteurs, éditeurs, artistes, vendeurs, n'hésitez pas à nous contacter pour toutes vos questions, nous restons à votre service.
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Cover du grand Luca Strati. Conception graphique the mighty Benjamin Carret Art Page
COSMOPIRATES TOME 1 : CAPTIF DE L'OUBLI (JODOROWSKY / WOODS)
Xar-Cero est typiquement le genre de mercenaire sur lequel on peut compter. Si vous avez une mission à exécuter, soyez certain qu'il ir...
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UniversComics Le Mag' 45 Septembre 2024 84 pages Dispo ici : https://www.facebook.com/groups/universcomicslemag/permalink/1049493353253...
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UniversComics Le Mag' 42 Mai 2024. 84 pages. Gratuit. Téléchargez votre numéro ici : https://www.zippyshare.day/odVOvosYpgaaGjh/file ht...