SPIDER-GWEN TOME 1

Moment fondateur du mythe de Spider-Man, la mort de Gwen Stacy fait partie de ces drames, de ces épisodes tragiques, qui permettent au héros de se sublimer, de dépasser sa condition et l'iniquité du destin, pour endosser le manteau de celui qui résiste, et n'abandonne jamais. En mourant, jetée d'un pont par le Bouffon Vert, Gwen a accédé de son coté à la rare immortalité de ces figures malchanceuses, jamais revenues d'entre les morts. Certes, Marvel a bien usé parfois de petits stratagèmes pour la représenter à nouveau, mais en dehors de la présence de clones (merci le Chacal...) ou de mondes alternatifs, le tabou résiste. Cette fois encore, ce n'est pas la Gwen que vous avez connu qui est l'héroïne de cet album, mais la Gwen d'une autre Terre parallèle, où l'histoire a connu un cours subtilement différent, et presque ironique. Là-bas l'araignée radioactive qui a mordu Peter Parker chez nous, a choisi la jolie blonde comme victime. Plutôt que d'en contracter une infection mortelle comme le voudrait la logique, Gwen acquiert alors (comme ici notre Parker des familles) des pouvoirs qui font d'elles Spider-Gwen, la femme-araignée.
Ainsi en va la vie quand on souhaite conserver une indépendance de jugement, et rester honnête avec ses lecteurs. Je n'ai pas aimé Spider-Gwen. Que voulez-vous, c'est ainsi! Tout d'abord, je constate et je l'admets, le titre est frais, juvénile, pétillant, mais les bulles ont tendance à vite exploser, sans bruit, et derrière la saveur acidulée du premier instant, il ne reste rien, pas même un arrière goût. C'est vide, finalement. Un des intérêts de Spider-Gwen, c'est comme bien souvent avec ces histoires de mondes parallèles, dimensions alternatives, ou uchronies de passage, d'identifier les personnages que nous connaissons déjà, pour les voir sous un nouveau jour, de nouveaux rôles. Ce sera le cas ici sur Terre 65 avec Gwen (forcément) mais aussi Mary-Jane (en chanteuse egocentrée d'un groupe musical), Frank Castle, Betty Brant, Foggy Nelson et d'autres. Sympathique dans l'idée, mais loin d'être une première et de proposer quelque chose de bouleversant. Pour ce premier numéro, il fallait aussi un premier ennemi de taille. Ce sera le Vautour, alias Adrian Toomes. Oui, bof.

Adrian par contre ressemble à ce que nous connaissons, et il met en difficulté notre blonde héroïne malgré un âge avancé. La série pensée par Jason Latour est juvénile, disais-je. Du coup, pour faire jeune, il faut des smartphones, et un look bien pensé (la meilleure chose de cette Spider-Gwen) avec un costume axé sur un sweat à capuche, qui devrait bien se vendre dans le monde réel où le merchandising est toujours à l'affût, et a déjà fait des émules dans les conventions Cosplay. Mais comme je viens de franchir le cap des quarante ans, et que j'aime bien trouver un minimum de fond dans les récits que je lis, histoire d'avoir un peu de grain à moudre au moment du passage à l'analyse, je suis embarrassé. C'est fun  et sans prise de tête, mais si vous allez sous la surface des choses, vous ne verrez pas grand chose. En tous les cas pas Peter Parker, qui a rencontré une mort tragique, et instillé en Gwen le même sens des responsabilités que le décès de l'oncle Ben a provoqué dans notre univers classique. Ici de l'humour également, avec la présence en invité bonus de Spider-Ham, autre transfuge du récent Spider-Verse, qui se manifeste après que l'héroïne soit tombée dans les ordures victime d'une commotion cérébrale. Les interactions entre les personnages sont très importants, que ce soit Gwen et son père (qui la couvre mais souhaiterait qu'elle renonce à sa double identité) ou Gwen et ses collègues de groupe (les Mary-Janes) qui servent fondamentalement à caractériser la petite blonde comme une jeune branchée bien de son époque, que ce soit dans les dialogues ou dans ses préoccupations. Coté dessins, c'est assez particulier. Des pages (de Robbi Rodriguez) qui explosent et semblent crier, happer le lecteur dans un univers presque psychédélique, tout en mouvement. Ce n'est pas du tout un style auquel j'adhère, d'autant plus que les couleurs de Rico Renzi sont trop criardes par endroits, et donnent la sensation que Terre 65 est enveloppée d'un nuage de Lsd qui empêche toute vraie identification ou crédibilisation de ce qui s'y passe. Reste des moments sympas, des fulgurances bien trouvées (Matt Murdock en méchant) mais pas assez pour faire oublier ce qu'est vraiment Gwen Stacy, ni qui elle est. 





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BEST OF 2015 : LA "COVER" DE L'ANNEE

Et nous poursuivons notre petite série des récompenses 2015 avec une catégorie vraiment difficile à affronter, étant donnée la masse impressionnante de candidats au sacre. Je veux parler de la plus belle cover ou variant cover de 2015. A coté des spécialistes du genre que sont Alex Ross, Skottie Young, Mark Brooks, Mike Del Mundo, David Aja, tant d'autres artistes se sont surpassés pour nous offrir de superbes choses, d'autant plus que désormais chaque sortie importante a droit à une litanie de variant à n'en plus finir. Alors ce classement est purement subjectif et prend en compte les numéros US sortis en 2015, donc pas forcément déjà publiés en Vf (comme ce n'est que la cover, je me base sur l'original et pas la publication française). Alors, vous en pensez quoi? 

1. Secret Wars #3 (de Alex Ross)
2. All-New Hawkeye #1 (de Ramon Perez)
3. Inhumans #12 (variant de Phil Noto)
4. Ant-Man #4 (de Mark Brooks)
5. Descender #1 (de Dustin Nguyen)








STARBRAND & NIGHTMASK #1 : LA REVIEW ALL-NEW ALL-DIFFERENT

Une des grandes difficultés rencontrées par Marvel ces dernières années est d'inventer de nouveaux personnages. La capacité de donner corps à de nouveaux héros qui vont savoir conquérir le public, et pouvoir résister dans le temps. Pour un Deadpool qui en son temps (ça remonte à loin déjà...) affole les compteurs, combien de Sentry qu'on envoie se faire petit ou disparaître modestement, sans trop savoir comment les gérer? Grâce à l'inventivité de Jonathan Hickman, Marvel peut donc offrir un mensuel à deux réalisations toutes récentes, Nightmask et Starbrand. Il s'agit pour être honnête de la version modernisée de héros apparus lors de la création du New Universe (idée de Jim Shooter et Archie Goodwin dans les années 80), sous un nouvel avatar, mais on les considérera comme des nouveautés car ces incarnations sont inédites. Ces deux-là sont des jeunots. Techniquement le premier cité a à peine trois ans et le second est un lycéen. Ils sont pourtant dotés de pouvoirs d'ordre cosmique, qui en font des héros capables de participer et de se sacrifier lors de conflits d'ampleur universelle, comme récemment avec la fin du Multiverse, dépeinte toujours par Hickman dans la saga Time runs out. Mais ici, ils sont revenus sur Terre, car peu importe ce que vous prétendez être, il faut parfois se reconnecter à ses racines pour grandir sainement, et mieux appréhender la réalité extérieure. Kevin Conner (Starbrand) reprend donc le chemin des études, poussé par son ami qui lui sert de conscience et de confident. On notera que la dernière fois que le gamin a mis les pieds sur un campus, il a reçu les pouvoirs formidables conférés par le Starbrand, et incinéré tout son voisinage, provoquant une catastrophe incroyable. Pour moins que cela les New Warriors, il y a quelques années, furent responsables de la Civil War qui envenima le microcosme super-héroïque Marvel. Kevin lui ne semble pas plus perturbé que ça par le poids de ses actes. Il y repense, mais sans en faire des cauchemars... 
Auparavant, les deux amis s'amusent à mettre la pâtée à un vilain de seconde zone du coté de la grande muraille de Chine. Tant pis pour Blizzard qui espérait avoir à faire à son vieil ennemi Iron Man, ce duo là ne plaisante pas. L'interaction entre Kevin Connor et Adam Blackveil (Nightmask) est bien sûr la clé de ce numéro 1, qui sonne assez juste quand il s'agit d'explorer les relations entre adolescents, et dans le ton général qui se dégage de cette vingtaine de pages (featuring Squirrel-Girl, il y a du beau monde à l'école). Les autres étudiants de l'Empire State University seront le prétexte pour étoffer le cast de la série, d'ailleurs une jeune compagne infirme de Kevin est déjà apparue comme personnage à suivre ces prochains mois (et deux vilains, deux gros calibres, rôdent dans le coin, et frappent en fin d'épisode). Greg Weisman remplit donc son cahier des charges assez honorablement, et Domo Stanton s'en tire sans gros dégâts avec le dessin, encore que certains gros plans, les visages notamment (surtout de profil) sont assez laids, et que l'ensemble n'a pas le panache ou la virtuosité pour attirer un public exigeant. Le capital sympathie naît du trait cartoony, qui permet de donner une impression de dynamisme, de "coup de jeune" à cette production qui vise un public qui a l'âge de ses héros. Reste à voir où ce sera publié en Vf, et combien de temps ça va durer en Vo. 


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BEST OF 2015 : LES COMICS SUR GRAND ET PETIT ECRAN

Aujourd'hui les comics débordent largement le cadre du support papier, et envahissent le grand et le petit écran. Alors que s'est-il passé en 2015? Et bien voici la réponse avec notre Top Five des comics adaptés pour le spectateur. Oh surprise, ce n'est pas le cinéma qui décroche la palme, mais la télévision, et tout particulièrement le réseau Netflix. Avec la série Daredevil, absolument superbe, dotée d'une image remarquable, et d'acteurs tous aussi justes les uns que les autres. a l'autre bout du classement, nous pourrions placer l'ignoble reboot des Fantastic, qui a découragé la Fox de poursuivre l'aventure, pour le moment. On les comprend.

1. DAREDEVIL (saison 1 - série)
2. THE AVENGERS 2 Age of Ultron (cinéma)
3. ANT-MAN (cinéma)
4. JESSICA JONES (saison 1 - série)
5. THE FLASH (saison 2 - série)


DAREDEVIL #1 : LA REVIEW ALL-NEW ALL-DIFFERENT

Pas facile pour Charles Soule de prendre la suite de Mark Waid. La série précédente a bien fonctionné, elle a été couverte de louanges et a reçu quelques récompenses au passage... Bref, le scénariste joue gros avec cette mouture All-New All-Different de Daredevil. D'ailleurs, que trouve t-on de si nouveau avec ce numéro un? Et bien le Diable Rouge (et noir) est de retour à New-York, et il n'est pas seul puisqu'associé à une sorte de jeune side-kick d'origine asiatique, Blindspot, à savoir Samuel Chung au civil. Celui-ci possède des talents avérés en arts martiaux, et il est doté d'une combinaison qui le rend invisible, d'où le choix de son nom de code. Pour ce énième redémarrage, l'histoire nous emmène du coté de Chinatown, quartier mystérieux et dangereux s'il en est, dans l'imaginaire collectif lié aux comic-books. Là-bas un nouveau chef de la pègre a fait son apparition, en la personne de Tenfingers (la planche finale vous renseignera sur le pourquoi de cette joli surnom), qui chapeaute une organisation de malfrats, mise en danger par le précieux témoignage de Billy Li, détenteur d'informations compromettantes. Pour le protéger et lui sauver la mise, rien de mieux que d'avoir Daredevil comme garde du corps. Mais aussi Matt Murdock comme avocat, appelé à le défendre et le soutenir devant la cour. Voilà pour la trame. Passons de suite aux innombrables questions qui vont vous assaillir à la lecture de ces pages. Matt est donc revenu à New-York. Et Kirsten McDuffie dans tout ça? Et Foggy Nelson, le voici guéri? Et puis je vous passe le meilleur, le plus spectaculaire, voire le plus incroyable... bref Soule reste vague sur un point crucial qui sent bon la marche arrière toute. All-New All-Different certes, mais l'impression est de revenir au début des années 2000, pour mieux s'adresser aux nouveaux lecteurs séduits par la série télévisée Netflix. Ce Daredevil là, il est pensé avant tout pour eux.
C'est donc un retour aux sources, qui joue sur des codes ultra assimilés, et place le lecteur dans une position familière qui évite de le prendre à rebrousse-poils. L'ensemble est fort bien dessiné par Ron Garney, qui choisit de donner à ce titre une ambiance urbaine sombre, crade, avec des couleurs volontairement éteintes (le job est confié à Matt Mila) qui ne laisse éclater que le rouge et le noir du nouveau costume de Daredevil. Les personnages évoluent dans l'ombre, et pour aussi loin que je me souvienne, même si le style était radicalement différent, j'y perçois quelques réminiscences des ambiances instaurées par Scott McDaniel. Rien à dire sur l'efficacité de ce numéro, placé entre les mains de celui qui voudrait enfin se mettre à suivre les aventures du super-héros aveugle le plus célèbre. Mais ceux qui ont adoré le run de Waid, et sa positivité latente et inébranlable, ceux-là vont peut être avoir des regrets, et ressentir comme un léger malaise durable...


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BEST OF 2015 : LE PERSONNAGE DE L'ANNEE

Ce soir, place au "personnage de l'année". Autrement dit quel est le héros qui a le plus marqué l'année 2015. Sont pris en compte : les événements narrés en 2015 dans les séries publiées en Vf uniquement. Donc rien de ce qui se passe dans Secret Wars n'est ici comptabilisé, par exemple. Alors, toutes maisons d'éditions confondues, l'heure est venue de se pencher sur la question et d'établir notre Top five du jour. Et c'est le Dark Knight qui décroche la palme. Je vois les surprises et les protestations d'ici... Mais entre les nouvelles origines décrites par Snyder et Capullo, le retour du Joker dans Endgame, et la gestion de l'après Damian/retour de Damian, le personnage a encore été gâté cette année avec des aventures qui ont généré un gros nombre de lecteurs et modernisé le personnage. 

1. BATMAN (Bruce Wayne)
2. FATALIS (Victor Von Doom)
3. DAREDEVIL (Matt Murdock)
4. MISS MARVEL (Kamala Khan) 
5. THOR (Jane Foster)


OLDIES : FACTEUR-X JUDGEMENT WAR

Aujourd'hui nous remontons le temps jusqu'en 1989 pour une aventure du groupe mutant X-Factor; il s'agit bien sûr de la première version du nom. C'est ainsi que nous retrouvons les premiers X-Men, non pas dans leur version adolescente comme aujourd'hui qu'ils ont été amenés à notre époque, mais lors de cette période où ils se faisaient passer pour des chasseurs de mutant alors qu'en réalité ils tentaient d'aider et d'appuyer leurs congénères pourchassés par une humanité aveuglée par le racisme. Dans cette aventure particulièrement spatiale, X Factor part dans les étoiles, sur un monde extraterrestre où différentes castes sont en lutte entre elles. Nous sommes nez à nez aussi avec les célestes qui font une apparition impressionnante et dominent la scène de toute leur majesté. L'aventure commence lorsque la base du groupe mutant (un vaisseau extraterrestre savant ayant appartenu à Apocalypse) est capturé par un rayon tracteur d'origine inconnue et qu'il est entraîné dans l'espace vers l'infini et au delà. Nous partons sur des bases classique d'une histoire de science-fiction comme tant d'autres mais très vite la trame s'étoffe et devient bien plus complexe. Tous les membres de X Factor se retrouvent en effet sur un monde extraterrestre séparés les uns des autres. Cyclope -qui est à leur tête- est sur le point d'être écrasé par le pied gigantesque d'un céleste qui ne prête même pas attention à là où il pose ses grosses bottes. Sur ce monde lointain nos mutants vont rencontrer une situation géo-politique qui n'est pas sans faire écho à ce qu'ils affrontent quotidiennement sur Terre, avec notamment deux races différentes en guerre et une troisième qui se contente d'observer, des anomalies génétiques, une civilisation corrompue avec des gouvernements basés sur ce système de castes et le mythe de la perfection physique. Bref, on ne s'en sort pas, les préjudices sont toujours les mêmes...

Du numéro 43 au 50, voici un bon petit arc narratif qui a eu le mérite de m'impressionner à la première lecture. J'étais dans mes années lycée, et Semic éditait cette histoire dans les petits fascicules du nom de "versions intégrales". Deux faits avaient de quoi dynamiser cette histoire. Tout d'abord les Célestes, mystérieux, énigmatiques, des entités presque divines qui jugent froidement, silencieusement, et dont le look a toujours exercé une fascination particulière. Puis cette division des membres de Facteur X, isolés, certains manipulés mentalement, amenés à un certain point à devoir combattre entre eux dans l'arène. La leçon est claire, la stupidité et le sectarisme ne sont pas l'apanage de la Terre, et cela n'épargne personne, quelque soit notre condition sociale, ou notre origine dans l'univers. Les apparences sont trompeuses, mais parfois elles aident, ou marginalisent, comme le Fauve, qui depuis sa mutation secondaire en bête à fourrure semble un animal et trouve refuge dans une tribus composée d'erreurs génétiques, pendant que Bobby Drake, qu'on peut ranger dans la catégorie des beaux gosses sans vrais défauts, a droit aux faveurs des puissants et de la caste souveraine de la planète. C'est tragique d'imbécillité, surtout pour Hank qui doit porter le fardeau du jugement des regards, alors qu'il est un des esprits les plus nobles, et surtout les plus brillants qu'il soit donné de rencontrer. Les autres membres de Facteur X traversaient aussi des épreuves personnelles dont les effets étaient loin de s'estomper, comme Jean Grey, qui avait à peine absorbé la psyché de Madelyne Prior durant Inferno, ou encore Archangel, qu'Apocalypse avait transformé en un mutant aux ailes de rasoir, ange de la mort. Louise Simonson met en scène des êtres humains qui courent en tous sens comme des poulets à qui on aurait coupé la tête, se détestent et s'affrontent, avant d'être jugés par qui les considère aussi peu important que le léger bourdonnement d'un insecte, qu'on finit par écraser négligemment. Je dis êtres humains, car ces aliens, certains monstrueux (des cyclopes, en écho à Scott Summers probablement) d'autres royaux et attirants, sont juste la parabole de ce et ceux qui peuplent notre Terre, et de nos divisions ancestrales. La futilité dans toute sa misérable splendeur. Le dessin est de Paul Smith, et je dois admettre que je le trouvais plus soigné et convaincant à l'époque. Ses planches ont perdu de leur intérêt avec le temps, et aujourd'hui les défauts dans la caractérisation des visages et dans certaines poses dynamiques sont proches d'une certaine laideur. Dommage car ce récit aurait beaucoup gagné sous les pinceaux d'un artiste comme Byrne ou Silvestri par exemple, mais on ne peut pas tout avoir, je crois. A lire en Vf dans les versions intégrales Semic Facteur X 10 à 14, parues en 1991. 


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BEST OF 2015 : LE MEILLEUR SCENARISTE

Au tour des scénaristes, ce soir. C'est à eux que nous devons l'inventivité de la plupart des histoires que nous lisons. Ne figure pas dans ce Top Five mon artiste préféré, Jeff Lemire, car sa dernière création, Descender, n'a pas encore connu de publication Vf et ce classement ne tient compte que de ce qui a été publié en français cette année qui s'achève. Notre choix s'est porté sur Jonathan Hickman, qui a eu la lourde charge de gérer (de main de maître) le destin des Avengers pendant plus de deux ans, de tisser un récit fabuleux et complexe amenant à la fin de l'univers Marvel, pour ensuite enchaîner sur Secret Wars, que vous allez lire en Vf dans quelques jours. Une tâche colossale qui mérite bien l'Award du meilleur scénariste. 

1. Jonathan HICKMAN (Avengers-New Avengers)
2. Rick REMENDER (Black Science-Uncanny Avengers)
3. Jason AARON (Thor-Southern Bastards)
4. Mark WAID (Daredevil)
5. Matt FRACTION (Hawkeye)


CONCOURS SECRET WARS AVEC ATTILAN COMICS

Les Secret Wars en Vf, ça commence la semaine prochaine dans vos kiosques. Grâce à ATTILAN COMICS vous allez pouvoir vous faire une idée en recevant dans votre boîte aux lettres un exemplaire du numéro 1. En effet, deux exemplaires sont à remporter avec ce petit concours. La règle est simple, pour participer il suffit juste de nous laisser un petit commentaire dont le thème est "Secret Wars". A vous de jouer. Et pour doubler vos chances, allez faire un tour sur la page FB de Attilan Comics, et faites la même chose!



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LA COVER DE LA SEMAINE (Semaine 3)

Comme chaque dimanche désormais, voici les plus belles couvertures des comics sortis mercredi dernier. Cette semaine encore nous avons de fort belles choses! Rappelons que nous avons décidé d'attribuer chaque semaine la palme de la cover la plus belle, avec quatre classements provisoires, celle de l'hiver, du printemps, de l'été, et de l'automne. Et fin 2016, nous saurons quelle a été LA COVER de l'année. Allez, on enchaîne de suite avec notre sélection de ce dimanche.

Au menu : 

Bloodshot Reborn #9 de  Juan Jose Ryp & Peter Pantazis
Venom:Spaceknight #2 de Mike Allred & Laura Allred
Daredevil #2 de Ron Garney
The Astonishing Ant-Man #3 de Mark Brooks
Dark Knight III #2 de Cliff Chiang
The Amazing Spider-Man #5 de Alex Ross
Hellcat #1 de Brittney Williams
Saga #32 de Fiona Staples
Darth Vader #14 de Mark Brooks
Titans Hunt #3 de Yanick Paquette












BEST OF 2015 : LE MEILLEUR DESSINATEUR

Ce soir notre rubrique consacrée au meilleur de 2015 décerne sa récompense au meilleur dessinateur de l'année. Je le répète, ne sont pris en compte que les travaux ayant bénéficié d'une première publication Vf durant l'année 2015. Un choix bien difficile à faire car entre la nouvelle garde qui explose vraiment, et les anciens toujours fidèles au poste et appréciés du public, retenir cinq noms uniquement est presque impossible. alors ça vaut ce que ça vaut, mais voilà une idée de ce qui nous a emballé, avec à coté de chaque nom la série sur laquelle le dessinateur a marqué les esprits. De peu, mais c'est à lui que vont nos voix, victoire de Deodato Jr, qui non seulement produit des planches magnifiques, mais réussit à être régulier, et toujours soigné. Bref, un petit exploit qui vaut cette récompense.

1. Mike DEODATO Jr (Original Sin)
2. Mike DEL MUNDO (Elektra)
3. Fiona STAPLES (Saga)
4. Olivier COIPEL (Spider-Verse)
5. Greg CAPULLO (Batman)


AVENGERS 30 : LE DERNIER NUMERO EN KIOSQUE. IL NE RESTERA QUE ... SECRET WARS

Cette fois c'est certain, les Avengers sont à court de temps. Et pour preuve, ce numéro 30 est le dernier du mensuel qui leur est consacrés. Toutes les trames patiemment tissées par Jonathan Hickman trouvent une résolution en ce mois de décembre, qui est aussi le prélude à ce qui va suivre en janvier, à savoir Secret Wars. Les incursions entre les différents univers, la fin de tout ce qui existe, tout cela se termine maintenant. Dans Avengers World, on assiste aux regrets et au désespoir de Namor, qui avait cru bien faire en mettant sur pieds une super équipe de psychopathes pour faire le sale travail, à savoir anéantir ces mondes qui menaçaient le notre, à chaque incursion. Les Illuminati avaient fini par renoncer devant l'ampleur du génocide cosmique commis et à commettre, mais il est clair que des individus tels que Thanos ont moins de remords, et finissent par y prendre un plaisir pervers. Le Prince des mers fait son possible pour se racheter tardivement, mais est-il encore temps? Réponse avec Frank Barbiere et un Marco Checchetto des grands jours (son Thor est majestueux dans la bataille). Pendant ce temps-là, les dernières révélations pleuvent. Comment Fatalis a pu acquérir un tel pouvoir, capable même de rivaliser et de contrer les plans des Beyonders que l'on imaginait tout puissants? L'aide fondamentale de l'Homme-Molécule n'y est pas pour rien, et Hickman nous dit enfin tout sur ce qu'il avait manigancé depuis deux ans et demi. De l'astuce toute bête de changer les noms pour entretenir le suspens (qui étaient Rabum Alal ou les Rois d'Ivoire par exemple) à la génèse de personnages comme les Swans ou la pseudo religion montée de toutes pièces par Fatalis, pour entretenir la flamme du dogme à travers le multiverse, et parvenir (peut-être) à sauver quelque chose du désastre universel à venir. Mike Deodato Jr est l'artiste qu'il fallait pour cette conclusion, tant il est évident qu'il est aujourd'hui un des deux trois grands dessinateurs pour insuffler une touche épique, grandiloquente, dans des planches qui annoncent le terme de l'univers Marvel tel que nous le connaissions. Certes, les explications demandent beaucoup d'attention, et de connaître les détails jusque là distillés, mais au final, à relire l'ensemble du run de Hickman, vous verrez la minutie et l'intelligence d'une fresque sans égale, qui mérite à juste titre une place au panthéon des aventures vécues par les Avengers.


On pourrait croire que pendant que certains essaient de sauver ce qui peut encore l'être (comme Roberto Da Costa qui a racheté l'A.I.M ou encore Stephen Strange qui pactise avec Fatalis...) les autres font ce qu'ils peuvent pour se rendre modestement utiles. Et bien non, Steve Rogers n'a qu'une idée en tête, alors que la fin du monde est une question d'heures, aller parler à Tony Stark pour lui faire avouer que depuis le début, il s'est comporté comme un menteur, et lui bourrer le nez de bons crochets du droit. Là, force est de le constater, l'ancien Captain America est à coté de la plaque. Que Tony soit une ordure potentielle, imbu de lui-même et antipathique à souhait, cela me va, mais ses actes à l'échelle cosmique sont justifiés par la situation d'urgence, et sans lui, point de survie. Il faut croire que les restes de Civil War continuent d'alimenter les fantasmes des scénaristes, qui les ont transformés en frères ennemis prêts à s'étriper. Au dessin cette fois, Kev Walker et Stefano Caselli, qui clairement n'ont pas les capacités et la magnificence de Deodato, alors ils s'adaptent, et ça se voit. Autre série qui ferme ses portes, les Secret Avengers d'Ales Klot. Un titre très étrange, avec une trame complexe, embrouillée, fantasmagorique, qui part dans tous les sens, appuie sur l'auto-dérision et l'absurde. C'est le moment clou de ce run d'une quinzaine de numéros, avec l'entrée sur notre plan de dimension de Tlön, et l'aide impromptue de Modok qui joue les héros pour sauver le Shield, Maria Hill, Hawkeye, et accessoirement la planète. Difficile de porter un jugement définitif. Souvent les trouvailles inventives de Klot ont décroché des sourires et l'approbation, mais l'ensemble fonctionne à moitié, car trop étoffé et pas assez bien débroussaillé. Le trop est l'ennemi du bien, et il a manqué un poil de clarté dans cette saga dessinée par Michael Walsh, qui vise à l'essentiel et à la caricature, laissant de coté fioritures et réalisme. Mais dorénavant plus rien n'a d'importance, car tout ce qui reste de notre univers, des univers, c'est Secret Wars. Alors on y va!



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Secret Wars : le guide de lecture Vf

BEST OF 2015 : LES MEILLEURES SERIES "ON-GOING" DE L'ANNEE

Le Top Five se penche aujourd'hui sur la meilleure série régulière de l'année. Attention, ne sont prises en compte que les séries publiées en Vf, ce qui explique par exemple que Descender (de Lemire et Nguyen) ne figure pas dans ce classement, là où le titre serait forcément apparu. Du Dc, Marvel, Image, du moment qu'il s'agit d'une on-going et que la plupart des épisodes ont connu une première Vf durant l'année 2015, alors cela compte pour notre classement. La première place a été attribué à deux séries soeurs, en raison du travail incroyable accompli par Jonathan Hickman qui pendant deux ans a tissé une oeuvre complexe et magistrale, qui a atteint son climax (Time runs out) ces derniers mois chez Panini. 

1. AVENGERS/NEW AVENGERS (Marvel)
2. BLACK SCIENCE (Image)
3. DAREDEVIL (Marvel)
4. SEX CRIMINALS (Image)
5. SOUTHERN BASTARDS (Image)




MERRY CHRISTMAS ET BONNES LECTURES

Comme le veut la tradition en ce 25 décembre, UniversComics vous souhaite à toutes et à tous un joyeux Noël. Avec si possible, pour que ce soit un Noël réussi, quelques saines lectures au pied du sapin. Vous avez pensé à offrir ou vous faire offrir Sweet Tooth, de Jeff Lemire? Rendez-vous dès demain matin pour la suite de nos aventures comics, ici-même. En attendant vous pouvez aussi nous dire quels sont vos cadeaux comics!






BEST OF 2015 : LES MEILLEURS ALBUMS COMICS LIBRAIRIE

On commence avec notre Top Five de l'année 2015. Pour débuter ce soir, le top five des albums librairie publiés en Vf, Il s'agit donc, vu le retard avec les States, de parutions qui remontent globalement à 2014, voire bien avant, comme le lauréat de la catégorie. Notre choix revient au premier volume de Sweet Tooth, magnifique série qui mêle aventure initiatique, science-fiction et récit survivaliste. Un chef d'oeuvre que je vous invite grandement à posséder. Mention très bien aussi pour l'humour décalé et inventif de Sex Criminals (Fraction et Zdarsky), et la saga de Rick Remender et Matteo Scalera, Black Science, qui explore une infinité d'univers alternatifs avec brio et émerveillement. 

Voici notre classement.

1. SWEET TOOTH Tome 1 de Jeff Lemire (Urban Comics)
2. SEX CRIMINALS Tomes 1-2 (Glénat Comics)
3. BLACK SCIENCE tomes 1-2 (Urban Comics)
4. TREES Tome 1 (Urban Comics)
5. INFINITY Absolute Edition (Panini)


Votre album préféré en 2015, c'est ...?

SECRET WARS : LE GUIDE DE LECTURE POUR COMPRENDRE CE QUI VOUS ATTEND EN KIOSQUE EN 2016

Rendez-vous en kiosque, dès janvier, pour Secret Wars. De quoi s'agit-il au juste?
Il s'agit de la fin de tout; non pas simplement la fin du monde, mais la fin de l'ensemble de tous les univers parallèles qui constituent la cosmogonie Marvel. Un effondrement cosmique d'ampleur universelle.
À la suite d'une série de collisions entre les différents univers (ce que le scénariste Jonathan Hickman appelle des incursions) les principaux héros de la planète se sont réunis pour empêcher l'inévitable. Mais ils ont échoué et il ne reste plus rien de tout ce que nous avons connu si ce n'est une seule et unique planète, façonnée des mains de Fatalis, qui est ainsi le maître incontesté et une sorte de Dieu vivant sur le Battleworld. Dans ce contexte particulier toutes les séries Marvel et donc toutes les revues mensuelles éditées par Panini s'arrêtent, pour laisser la place à une formidable fresque du nom de Secret Wars. Ce sont les secondes du nom, car un énorme événement du même genre avait déjà été proposé dans les années 80 (lire cet article pour en savoir plus). A côté de l'histoire principale nous trouvons des dizaines de récits satellites qui mettent en scène toutes sortes de versions improbables ou alternatives des héros que nous aimons. Par exemple nous pouvons lire les aventures du Old Man Logan (version alternative et âgée de Wolverine) ou encore celle d'un Steve Rogers transformé en gladiateur et accompagné par un dinosaure géant. Sans oublier une contrée toute entière peuplée de Hulk(s) ou un Peter Parker à nouveau marié avec Mary-Jane Watson, et père d'une petite fille adorable. Très souvent ces séries puisent leur inspiration dans les sagas les plus célèbres de l'histoire de la maison des idées; c'est ainsi que vous allez pouvoir lire une nouvelle version de Civil War, Siege, Infinity Gauntlet, Age of Apocalypse ou encore Inferno, le grand crossover mutant des années 80. 



Panini va permettre au lecteur français de suivre l'intégralité de cet événement durant les prochains mois : vous allez trouver en kiosque une dizaine de nouvelles revues composées chacune de 4 séries qui vont vous donner la possibilité de suivre de la meilleure des façon l'univers composite et fantasmagorique des Secret Wars. Bien sûr rien ne vous oblige de tout lire et vous pouvez vous contenter de la mini-série éponyme écrite par Hickman et dessiné e par Esad Ribic, qui sera publiée de manière indépendante. Mais vous auriez tort de ne pas vous pencher sur la liste des séries parallèles car certaines sont de grande qualité! Nous essaierons sur UniversComics de vous tenir informés de ce qui va sortir ces prochaines semaines; en attendant vous pouvez faire une petite recherche rapide sur notre site pour retrouver la critique des premiers numéros de la plupart de ces nouveaux titres provisoires . Sachez qu'en début de mois -durant l'intégralité de cet événement- Panini proposera aussi un coffret grand luxe reprenant la totalité des mensuels à sortir chaque mois, agrémentés de variant covers. Ces coffrets collector seront mis en vente au prix de 70 € et vous pouvez d'ores et déjà les réserver chez votre marchand de comics habituel. Voici maintenant les couvertures et le sommaire des mensuels édités par Panini, dont les premiers numéros vont sortir au tout début du mois de janvier.
Quand une "review" du numéro publié tout d'abord en VO est disponible sur UniversComics, alors un lien vous transporte directement à la bonne page en cliquant dessus.


SECRET WARS

Au menu : 
Free Comic Book Day 2015 (I)
 Secret Wars 1-2
Et bien voilà. tout est fini. Alors tout peut commencer. Après l'effondrement complet du multivers, que reste t-il? La réponse est le Battleword, et les Secret Wars commencent. C'est dans cette revue que vous allez pouvoir lire la série principale. Hickman et Ribic pour une aventure absolument magistrale.


AVENGERS


Au menu :
Thors 1 
Armor Wars 1 
Des Vengeurs au féminin, les (mé)saventures d'Iron Man, l'armée des Thors au service de Fatalis, et le Maestro (version futuriste de Hulk) sont au sommaire. Le monde des Avengers tel que vous n'avez jamais osé l'imaginer dans cette revue qui définit plus clairement quelles sont les forces en présence sur le Battleword. 


BATTLEWORD

Au menu:
Where Monsters Dwell  1, 
Runaways  1, 

C'est ici que vous allez comprendre le fonctionnement du Battleword, connaître le Weirdworld, affronter des monstres, lire les aventures des Runaways et vous prendre une bonne dose de Kung-Fu! Des aventures dépaysantes et à la limite du fantasmagorique. 

CIVIL WAR

Au menu :
Civil War  1 
1872 1 
Hail Hydra 1 
Planet Hulk 1


Civil War revient, Tony Stark et Steve Rogers sont toujours de grands ennemis! Cap aussi sur une version western du monde Marvel, rendez-vous avec les machinations de l'Hydra, et avec un Steve Rogers version barbare gladiateur. Surprenant! Et indispensable.

ULTIMATE END

Au menu:
Ultimate End 1
Inhumans : Attilan Rising 1
Squadron Sinister 1
Captain Marvel and the Carol Corps 1
La fin de l'univers Ultimate, mais pas seulement. Puisque cette revue met en scène Médusa, Kamala Khan et le reste des Inhumains, ainsi que l'escadron sinistre et Captain Marvel. Un mensuel peut-être trop hétéroclite, qui comblera les "complétistes" de Secret Wars.

SPIDER-MAN

Au menu :
Spider-Island 1 

Le tisseur a son magazine durant SW. Il est marié avec Mary-Jane, et le couple à une fille! Vous lirez aussi des aventures situées dans le Spider-Verse, aurez droit à une suite de Spider-Island, et retrouverez le Spidey de 2099. Totalement indispensable pour ceux qui lisent du Spidey depuis toujours.

MARVEL ZOMBIES

Au menu : 
Marvel Zombies 1
Age of Ultron vs Marvel Zombies 1 
Ghost Racers 1 
Secret Wars Journal 1
Pour la première fois les zombies ont leur mensuel. De l'autre coté du bouclier qui protège le domaine de Fatalis, c'est la horde déchaînée! A coté de cela, vous lirez les aventures des Ghost Racers, qui se font la course au péril de leurs existences. 







DEADPOOL

Au menu:
Deadpool's Secret Secret Wars 1
Mrs Deadpool & the Howling Commandos 1
Giant-Size Little Marvel AvX 1 
MODOK Assassin 1
Secret Wars avec le sourire, c'est parti. Deadpool se lance dans la bataille, mais lui choisi de s'immiscer dans les premières SW, celles des années 80. Mais aussi les aventures de sa femme, Shiklah, des Avengers Babies de Skottie Young, et Modok en cadeau bonus. 







LES GARDIENS DE LA GALAXIE

Au menu:
Guardians of Knowhere 1 
Korvac Saga 1
Infinity Gauntlet 1
1602 Witch Hunter Angela 1
Pendant ce temps là dans l'espace... Les Gardiens protègent Nulle-Part, alors que Yondu, Martinex, Thanos, Nova et Angela sont aussi de la partie dans cette revue. C'est là que vous allez lire la seconde version de Infinity Gauntlet (!) et que vous allez retrouver Angela dans un contexte tiré du passé Marvel. 






OLD MAN LOGAN

Au menu :
Old Man Logan 1 
X-tinction Agenda 1
E is for Extinction 1 
Secret Wars Journal 2 (II)
Alors là, voici du lourd. Le vieux Logan de Bendis et Sorrentino est somptueux. E for Extinction apporte une touche d'humour avec des X-Men sur le retour, et vieillissants. Cap aussi sur le futur gouverné par les Sentinelles, dans cette revue qui aura aussi des répercussions sur l'univers Marvel d'après les Secret Wars.






X-MEN

Au menu:
Age of Apocalypse (2015) 1
House of M (2015) 1 
X-Men ('92) 1
Secret Wars : Battleworld 1 (I)
Ce mensuel va vous plonger dans des épisodes importants du passé des mutants, revus et corrigés par les Secret Wars. L'Ere d'Apocalypse revient, tout comme House Of M, ce monde où les mutants règnent sur l'humanité, avec Magneto à leur tête. Surprise enfin avec les X-Men de 1992, la grande époque Jim Lee, droit sortis du dessin-animé éponyme. De quoi faire plaisir aux anciens lecteurs. 




Bonne(s) lecture(s). Vous allez acheter quelles revues? 

CHASM : LE FARDEAU DE KAINE (UN FARDEAU POUR LES LECTEURS)

 En mars 2024, Marvel a publié un gros fascicule intitulé Web of Spider-Man , censé donner un aperçu de quelques unes des trames sur le poin...