NEXT MEN VOL.3 : LE GRAND JOHN BYRNE CHEZ DELIRIUM
HAWKEYE SUR DISNEY + N'A PAS ENCORE MIS DANS LE MILLE
Pour ce qui est de l'ambiance, de l'habillage, de l'esthétique, vous êtes priés de connaître le run de Matt Fraction et David Aja, dont on vous a déjà parlé sur ce blog (mais oui, ça se passait ici). La trame qui voit Kate en fuite, rencontrer Clint, adopter malgré elle un chien qui dévore avec délectation de la pizza (le fameux Pizza-Dog, qui a d'ores et déjà un webtoon programmé à son actif), mais aussi voit arriver sur la scène une bande de malfrats en survêtements, venus des pays de l'Est, bref, tout ceci découle des mêmes sources. Mais là où le comic-book était réellement truculent, et pouvait utiliser pleinement les trouvailles et les gimmicks que le média consent aux auteurs inspirés, la série se contente d'aligner des redites, des imitations, qui fonctionnent beaucoup moins bien, car insérées dans une narration et des intentions beaucoup plus conventionnelles. L'humour est fort présent, et joue la carte du troisième degré et de l'absurde. Parfois ça passe, parfois ça casse, toujours on flirte quand même avec la ligne rouge. On notera ainsi une fausse comédie musicale sur les Avengers à laquelle assiste Clint Barton, ou encore la participation de ce dernier à un jeu de rôles médiéval plutôt pathétique. Pendant ce temps-là, Kate elle est l'élément inexpérimenté, la fonceuse qui met les pieds dans le plat et s'étonne naïvement des déboires qui lui pendant au nez. Une Kate Bishop Kate qui est jouée par la pétillante Hailee Steinfeld, que nous avons déjà vue dans Bumblebee il y a quelques années et qui, ironie du destin, a prêté sa voix à Spider-Gwen dans Spider-Man: A New Universe. Elle est également la voix américaine de VI dans la série Arcane de Netflix, qui cartonne. L'essentiel de ces deux premiers épisodes, c'est finalement ce qu'ils promettent, laissent espérer, ce qu'ils peuvent induire. La présence du personnage d'Echo, par exemple, qui soulèvent bien des questions (il faut s'attendre à une version différente de celle de l'univers Marvel traditionnel) ou encore celle de guest stars de prestige à venir, ou d'un grand vilain charismatique qui pourrait projeter l'ensemble dans une autre dimension. Le regard attendrissant de Pizza Dog, quelques quiproquos et des flèches, ce n'est pas encore assez pour mériter le déluge de louanges qui de toutes manières est de rigueur sur Twitter, dès que les "influenceurs de profession" commencent leur travail de sape, orientés par des conflits d'intérêts évidents. Promis, Hawkeye n'est pas une mauvaise série (pour ce qu'on en a vu) mais c'est loin d'être passionnant et jouissif. Les débuts les plus modestes depuis l'intronisation de Disney +, assurément.
LE PODCAST LE BULLEUR PRÉSENTE : SOUS LES GALETS LA PLAGE
Dans le 116e épisode de son podcast, Le bulleur vous présente Sous les galets, la plage, album que l’on doit à Pascal Rabaté, édité chez Rue de Sèvres. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
– La sortie de l’album Jean Gabin, l’homme aux yeux bleus, que l’on doit au scénario de Noêl Simsolo, au dessin de Vincenzo Bizzarri et c’est édité chez Glénat dans la collection 9 1/2
– La sortie de la première partie de 47 cordes, un diptyque que l’on doit à Timothée Le boucher et aux éditions Glénat dans la collection 1000 feuilles
– La sortie de l’album Les strates que l’on doit à Pénélope Bagieu et aux éditions Gallimard
– La sortie de L’été de cristal, premier volet de La trilogie Berlinoise que l’on doit à Philip Kerr, adaptée ici par Pierre Boisserie au scénario, François Warzala au dessin et c’est édité aux Arènes BD
– La sortie de l’album Innovation 67 que l’on doit au scénario de Patrick Weber, au dessin de Baudouin Deville et c’est édité chez Anspach
– La réédition en un volume de l’album Des villes et des femmes que l’on doit au scénario de Bob de Groot, au dessin de Philippe Francq et c’est édité chez Dargaud
VAN HELSING Vs ROBYN HOOD : UN PETIT TOUR CHEZ ZENESCOPE ET EDITIONS REFLEXIONS
Car oui, cette nouvelle drogue est en fait une substance qui "vampirise" les victimes, et vous le savez, les créatures de la nuit sont dangereuses, surpuissantes, et corvéables à merci. Bref une main d'œuvre de choix quand votre ambition est de devenir le maître de la pègre, d'abord de la ville, puis de la nation... En cours de route, comme le veut la règle de la tension narrative, une des deux héroïnes va se faire mordre, et devenir à son tour une méchante vampire prête à se repaître de sang! Allan Otero dessine ces quatre épisodes dans un style qu'on peut qualifier de "totally Zenescope". Sans pour autant faire dans la vulgarité, il soigne son travail et les planches sont assez jolies, bien construites, on est agréablement surpris par la lisibilité de l'ensemble, qui en plus n'est pas étouffé sous trop de textes ou de didascalies. Il est bien épaulé par Leonardo Paciarotti aux couleurs, et on a l'impression de lire quelque chose qui prend le contrepied des choix artistiques de Marvel, par exemple, à savoir la volonté évidente de proposer un comic-book soigné et répondant à certains canons acceptés facilement des lecteurs, sans la moindre prétention révolutionnaire. Ce serait même encore mieux, si hélas le travail en digital ne finissait pas par appauvrir la finesse du trait, aplatir le produit fini, par le stériliser. Mais bon, vous savez quoi? Si on replace cette lecture dans son contexte, et qu'on la compare au public clairement visé, on a l'impression que Zenescope (et par ricochet Reflexions) a vu juste. Une mini série sympathique et qui ne prend pas la tête, qui est aussi une porte d'accès assez évidente pour celles et ceux qui ne sont pas familiers avec les deux héroïnes de cet univers. Vous pouvez tenter le sort.
ONSLAUGHT : L'OMNIBUS NOUVELLE VERSION DU GRAND CROSSOVER MUTANT
Être le professeur Xavier, ce n'est pas une sinécure. Non seulement le type est le chef et père spirituel des X-Men, mais c'est aussi un des télépathes les plus puissants de la planète, un mutant qui a passé une bonne partie de son existence à cacher ses dons au grand public, quelqu'un dont la structure même de notre réalité dépend fortement (comme on a pu le constater, sa mort apocryphe fut sur le point de départ de l'Ere d'apocalypse). Ajoutez à tout ceci une passion charnelle jamais assumée pour la jeune élève Jean Grey, et tôt ou tard il était logique que ce bon vieux Xavier bascule du côté obscur. C'est advenu dans les années 90 chez Marvel, une époque où d'ailleurs la Maison des Idées elle aussi était tout près de basculer dans un autre univers, celui de la faillite et de la déroute totale. À l'époque nous assistions à une débauche de crossovers tous aussi musclé les uns que les autres, avec un point commun pas forcément si rassurant, une surenchère continue dans l'extraordinaire, pour ne pas dire l'improbable. Pour autant, avec le recul, Onslaught garde toujours un capital sympathie indéniable et on trouve tout un tas de choses très intéressantes et pertinentes au long des nombreux épisodes qui composent cette saga. C'est la fusion du rêve de Xavier et de la vision radicale de Magneto, une perversion qui finit par donner naissance à un être surpuissant, engoncé dans une armure menaçante, et qui met la pâtée à un peu tout le monde, épisode après épisode, bouleversant profondément l'intégralité (ou presque) des parutions Marvel de l'époque. C'est Jean Grey donc qui s'y colle et qui découvre l'existence de la menace sur le plan astral; là elle ne peut pas faire grand-chose face à celui qui se définit comme un dieu en colère. Elle reçoit bien l'aide inattendue du Fléau, qui met à son service sa masse et sa force mais cela ne sert à rien. Lorsque la vérité éclate, il est trop tard et les lecteurs ont enfin la réponse à la question qui les tourmentait depuis longtemps, à savoir qui est le traître qui risque de mettre un terme à la longue carrière des X-Men (Gambit n'a toujours pas porté plainte). Ces derniers traversent une période délicate avec notamment un Wolverine revenu à l'état sauvage, dont les griffes sont désormais constituées de ses propres os, et dont la pilosité est débordante. Le Fauve lui a subi l'enlèvement et les tortures de son équivalent débarqué de l'Ere d'Apocalypse. Nathan Grey, alias X-Man, est un nouveau mutant surpuissant qui se joint à la bande, mais son espérance de vie est réduite et il sait que son destin est de s'éteindre aussi vite qu'il utilise ses formidables ressources. Peu importe, car en vérité, tout le monde va se prendre une rouste dantesque, une vraie humiliation, orchestrée par Jeph Loeb, Scott Lobdell, Mark Waid, et d'autres encore!
NO ZOMBIES TOME 1 : LE LIVRE DE JOSEPH
HARD BOILED : MILLER ET DARROW SANS LIMITE CHEZ FUTUROPOLIS
Chez Futuropolis, on a mis les petits plats dans les grands. Hard Boiled n'est pas une nouveauté à proprement parler, puisque le récit est sorti voici trente ans, mais il bénéficie aujourd'hui d'un grand format du plus bel effet, retravaillé, retraduit. L'objet est alléchant, et on peut désormais profiter pleinement des dessin de Darrow, et de sa folie créatrice débordante. L'histoire de Miller respire l'aliénation d'une société moderne où tout est déshumanisé, ou l'identité même est en danger, devant le surgissement d'une robotique omniprésente, d'un futur où la technologie et la science effacent progressivement l'humain, à qui il ne reste plus que l'abrutissement d'un quotidien répétitif et vidé de sens, et dirigé en coulisses par des multinationales, avec à leur tête (dans le cas présent) un amas de lard dégoûtant, un monstre adipeux sur le corps duquel rampent de jeunes masseuses comme autant de poupées déshumanisées. Des victimes donc, comme celles qui prennent imprudemment le métro le jour où les robots assassins unités 2 et 4 s'y livrent une lutte acharnée. Hard Boiled n'a rien de sérieux, au premier degré, c'est une orgie, une surenchère permanente de désastres, d'explosions, de violence destructrice, mais derrière le grand guignol des situations, c'est l'absurdité et la castration de l'ère moderne qui alimente une histoire tendu comme un élastique, toujours au bord de la rupture, qui se lit d'un trait, et sans concession. Et c'est beau à voir, pour ne rien gâcher. Très beau!
SQUID GAME : LE JEU TERRIFIANT DU MOMENT SUR NETFLIX
Squid Game est en fait une série intelligente, horriblement contemporaine, qui parvient à mélanger camp de concentration et fête foraine géante (là où les joueurs sont détenus/accueillis), fascisme et révolution populaire, satire sociale et misère humaine. On pourrait presque se mettre à rêver et voir la série comme une ode à l'égalité des chances, à l'abolition des castes entre les individus, mais ce n'est que poudre aux yeux pour mieux souligner la terrible différence entre ceux qui peuvent et font et ce qui ne peuvent plus rien et subissent les pires affronts. Même le libre arbitre n'est qu'un mirage : abandonner le jeu est certes possible dans un premier temps, mais ça veut dire recommencer à être harcelé à l'extérieur, mourir seul, pauvre, peut-être aux mains de la pègre ou asservi par des employeurs qui vous exploitent éhontément. Pour la plupart des participants, tout risquer est la seule solution sensée, face à un monde qui les a abandonnés et n'est pas prêt à leur pardonner leurs erreurs, et à les réintégrer dans la société. Plus rien à perdre, si ce n'est la vie. Le gigantesque prix en argent sonnant et trébuchant est un désir utopique, le mirage d'une richesse possible, mais qui en réalité n'est rien de plus qu'un leurre, pour cultiver l'illusion que tout le monde dans la vie peut devenir quelqu'un. Les yeux rivés sur les billets qui s'écoulent dans un globe géant, suspendu, les participants se sacrifient sur l'autel d'un mirage, dernier espoir si mince, si factice. Terrifiant. Votre petit dernier n'a probablement pas tout vu, tout compris, et il y a fort à parier qu'il s'est contenté de la touche avance rapide pour sélectionner uniquement les moments forts, l'hémoglobine et la violence. Autrement ce serait une très bonne chose, car il y a de belles envolées lyriques et une vraie science de la narration dans Squid Game. Qui je le répète, lourdement, n'est pas un problème en soi. Rambo n'a jamais provoqué l'apparition de millions de survivalistes en bandana, ni the Walking Dead l'apparition du cannibalisme dans les cours de récré. Par contre la bêtise et l'ignorance peuvent faire en sorte que des adultes aient peur de Squid Game, peut-être par paresse d'admettre qu'il existe un contrôle parental, ou que leurs enfants soient juste de sombres demeurés.
LE PODCAST LE BULLEUR PRÉSENTE : NOIR BURLESQUE
Dans le 115e épisode de son podcast, Le bulleur vous présente la première partie de Noir burlesque album que l’on doit à Enrico Marini, édité chez Dargaud. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
– La sortie de l’album La jeune femme et la mer que l’on doit à Catherine Meurisse et aux éditions Dargaud
– La sortie de l’album Go west Young man que l’on doit à Tiburce Oger, différents artistes en signent la partie dessin et c’est édité chez Grand angle
– La sortie de l’album Lumière noire que l’on doit au travail conjoint de Claire Fauvel et Thomas Gilbert et c’est édité chez Rue de Sèvres
– La sortie de l’album Retour à Liverpool que l’on doit à Hervé Bouhris pour le scénario, Julien Solé pour le dessin et c’est édité chez Futuropolis
– La sortie du troisième tome de la série Faut pas prendre les cons pour des gens que l’on doit au scénario de Nicolas Rouhaud, Vincent Haudiquet, Jorge Bernstein ou Emmanuel Reuzé et au dessin de ce dernier, l’album est édité chez Fluide glacial
– La sortie de l’intégrale des Péchés mignons que l’on doit à Maïa Mazaurette (pour les tomes 3 et 4) et à Arthur de Pins et au dessin de ce dernier. Une intégrale éditée chez Fluide glacial
LES ÉTERNELS : NOUVEAUX PERSONNAGES POUR NOUVELLE ÈRE?
Les spectateurs comprennent qui sont les Eternels à travers toute une série de flash-back, qui nous amènent alors à appréhender le présent, où la menace des Déviant refait surface. Si les moments faibles ne manquent pas (les images élégiaques d'une Eternelle qui caresse le sable sur fond de coucher de soleil, ça ne mange pas de pain...) et si Ikaris, le plus fort des siens accumule les références à Superman (d'ailleurs les Eternels ressemblent d'avantage à la Justice League qu'aux Avengers), il faut attendre la dernière heure pour que la vérité se dévoile lentement, à travers tout un jeu de révélations, de trahisons, de décisions, qui portent en elles la grandeur et la raison d'être du film. Qu'on peut interpréter, globalement, comme une ode à la vie, à la tolérance, à refuser les dogmes qui façonnent les destins, au nom de croyances aveugles et mortifères. Un peu partout fleurissent aussi bien des accusations que des encouragements, en raison du caractère présumé du film, qui serait woke comme aucun autre avant lui chez Disney/Marvel. Outre que ça se veut pas dire grand chose, et que de toute façon nous partons d'assez loin à ce sujet, nous noterons juste qu'en effet que la diversité des individus est ici mise en avant, avec également un personnage muet, qui parvient tout aussi fluidement et simplement à communiquer avec ses coéquipiers et le spectateur. Chloé Zhao réussit clairement son parti pris du silence, de la beauté, par moments, et ne livre pas à un film paroxystique, où chaque minute doit être au service du spectaculaire, des combats, des effets spéciaux ou du stand-up comédie. On prend le temps, et parfois le risque, de ménager des pauses de respirations, où c'est la vie, l'humain (même pour êtres éternels) qui occupe l'écran. Et la bonne surprise du long métrage, si on revient au spectacle du merveilleux, est assurément cet Arishem, le Céleste impressionnant au coeur des croyances de nos nouveux "héros", qui ouvrent bien des perspectives dantesques pour une suite dans l'espace. C'est d'ailleurs parmi les étoiles, à en juger par le final et la première des scènes bonus, que devrait se prolonger l'aventure pour Ikaris et les siens, qui ne tarderont pas, si la logique est respectée par croiser la route des Gardiens de la Galaxie, pour ne pas dire croiser le fer. Pour résumer tout ceci, disons que si vous lisez qu'il s'agit d'un chef d'œuvre, ouvrez-vous au doute, vous aussi, car ce n'est pas le cas; inversement n'écoutez pas ceux qui évoquent une catastrophe, c'est un long métrage intéressant et pertinent, qui trouve son sens et son équilibre, en fin de compte.
MONSTRES : LE RETOUR MONSTRUEUSEMENT POIGNANT DE BARRY WINDSOR-SMITH
LES GARDIENNES D'AETHER TOME 1 : UN HÉROS IMPROBABLE (CHEZ DRAKOO)
Une autre petite perle de bonne humeur et fichtrement bien écrite par Olivier Gay est disponible chez Drakoo: Les gardiennes d'Aether est un album qui met en scène un jeune domestique (Aether, donc) en service auprès du couple royal du royaume de Valania, plutôt bien fait de sa personne, mais très naïf et tête en l'air. Il ne remarque même pas que son amie d'enfance, Meeri, est totalement éprise de lui. De toute manière ce n'est pas le problème principal, puisqu'un beau jour des cafards géants envahissent Valania et menacent d'exterminer tous le palais royal et les habitants. Il faut un acte de courage inconsidéré de la part d'Aether qui s'empare d'une épée accrochée dans la salle des armes, et devient alors le héros qui sauve la situation. Il faut dire que l'arme possède des pouvoirs magiques qui ne s'activent uniquement qu'au contact de celui qui vient de la manier. Pour les autres, elle est absolument normale. Aether et Meeri, plus la princesse Tatiana Louisdottir et Opale, commandante en chef d'un vaisseau droit sorti d'un livre steampunk, mettent le cap sur Palestia, un des royaumes voisins, dans l'espoir d'y trouver un refuge et de l'aide. C'est alors que commence une sorte d'intrigue amoureuse plurielle, avec tous les personnages féminins qui finissent à un moment donné, pour une raison ou une autre, par considérer que la seule présence masculine qui les accompagne est digne d'intérêt. Et on sent poindre le désir, et avec lui la jalousie, bien que les envies et les pulsions ne soient pas assumées verbalement, et que tout est exposé dans la gestuelle, les grimaces, les regards.
UNIVERSCOMICS LE MAG' #17 : ICI C'EST GOTHAM!
🔥🔥🔥 UniversComics Le Mag' #17 de novembre
Mensuel comics BD gratuit.
PDF gratuit ici :
https://1drv.ms/b/s!AgicrUDIdGPCkyJpfnieSraZGGmZ
https://1fichier.com/?2g9vd5oir51r4daiidig
https://uptobox.com/msq0vnt5p57m
Lire en ligne :
https://madmagz.com/fr/magazine/1942550
ICI C'EST GOTHAM!
sommaire :
🌃Gotham city, et l'univers de #Batman. Dossier.
🤡Le #Joker, guide de lecture du dingo de service. Et analyse de "Trois Jokers" chez Urban Comics
🦇 Batman GPS : la géographie psychique secrète de Batman avec #AnthonyHuard
🦇 Batman pour les nuls. Le B-A-BA du personnage avec #AlexandreChierchia
🎤 Interview : #MarkTexeira au micro de #FilippoMarzo de Comics Reporter
📕 Le cahier critique. Les sorties du mois chroniquées chez Urban Comics, Panini Comics France Drakoo Editions Anspach Éditions Delcourt
📘 Le podcast #LeBulleur et les review BD. Avec le #Goldorak chez Editions Kana mais aussi des sorties chez Casterman BD Futuropolis Delcourt Éditions Dupuis et Dargaud
🎨 Le portfolio du mois de novembre
🕵️♀️ Focus sur le superbe #Automnal publié par 404 Comics
👀 Preview : découvez "Il a dit papa" publié en novembre chez Shockdom France
📚 Le guide des sorties VF en librairie
Cover (superbissime) de #LaurentLefeuvre que nous remercions infiniment. Mag' proposé avec la science graphique et l'habillage de Benjamin Carret Art Page.
LA NUIT DES LANTERNES CHEZ DELCOURT : LE DEUIL, LA COLÈRE, L'HORREUR
Le personnage principal de cet album signé Jean-Étienne s'appelle Eloane. C'est une jeune femme qui retourne dans la maison familia...

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Comme chaque samedi désormais, nous vous proposons de plonger dans l'univers de la bande dessinée au sens le plus large du terme,...
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WORLD WAR HULK (Marvel Deluxe - Panini) A l'occasion de la sortie (avant les fêtes, bien entendu) du Marvel Deluxe consacré à...
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UNIVERSCOMICS LE MAG' 46 Octobre 2024 / 60 pages / gratuit Disponible ici (lecture + téléchargement) : https://madmagz.app/fr/viewer/...