ABSOLUTE POWER TOME 1 : AMANDA WALLER CONTRE L'UNIVERS DC COMICS
SCARLETT : MISSION SPECIALE AVANT LES G.I. JOE
CAPTAIN AMERICA LA VÉRITÉ : LES ORIGINES ET LES SECRETS DU CAPTAIN AMERICA NOIR
LE PODCAST LE BULLEUR PRÉSENTE : SIBYLLINE CHRONIQUES D'UNE ESCORT GIRL
- La sortie de l’album Carcoma que l’on doit Andrés Garrido et aux éditions Dupuis
- La sortie de l’album Le secret de Miss Greene que l’on doit au scénario de Nicolas Antona, au dessin de Nina Jacqmin et c’est paru aux éditions Le Lombard
- La sortie du deuxième et dernier volet de Quand la nuit tombe, un volet consacré à Mylaine pour un album que l’on doit au scénario de Marion Achard, au dessin de Toni Galmès et c’est publié aux éditions Delcourt
- La sortie d’On ne fait pas de feu sous un arbre en fleur, le troisième tome des aventures du commissaire Kouamé, série que l’on doit au scénario de Marguerite Abouet, au dessin de Donatien Mary et c’est publié aux éditions Gallimard
- La sortie de l’album Le maitre de California Hill que l’on doit à Laurent-Frédéric Bollée pour le scénario, Georges Van Linthout pour le dessin dessin et c’est publié aux éditions de La boite à bulles
- La réédition en intégrale de la série Streamliner que l’on doit à Fane, un titre publié aux éditions Rue de Sèvres.
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CAPTAIN AMERICA BRAVE NEW WORLD : PAS GRAND CHOSE DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL
FRANKENSTEIN OU LE PROMÉTHÉE MODERNE : LE MYTHE INÉPUISABLE
La méthode de travail de la dessinatrice espagnole Merritxel Ribas Puigmas consiste donc à extraire de l'obscurité des traits, puis des formes, ce qui, bien évidemment, convient parfaitement à ce type de récit gothique. D'ailleurs, son Frankenstein est omniprésent : même lorsqu'on ne le voit pas, il est là, tapi dans l’ombre, une sorte de spectre dont on ne peut se défaire et qui, peu à peu, élimine les êtres les plus chers à celui qui lui a donné vie, le scientifique Victor Frankenstein. Pour autant, ce n’est pas un monstre sanguinaire et dénué de raison. Bien au contraire, c'est une créature pathétique qui aspire à ce qu’un regard se pose sur lui, comme un enfant cherche désespérément l’attention de son père pour lui prouver sa valeur. Mais voilà : Victor Frankenstein l’a créé dans un moment de faiblesse, emporté par un sentiment de toute-puissance, avant de paniquer face aux conséquences de son acte. Ironiquement, c’est l’inverse qui se produit lorsqu’il entreprend de façonner une compagne pour sa créature : cette fois, sa conscience lui intime de renoncer à cette collaboration impie et de condamner à une solitude éternelle le fils déviant qu’il a engendré. On ne s’ennuie pas un seul instant dans cette bande dessinée publiée chez Bambou, le rythme est parfaitement maîtrisé, les rebondissements s’enchaînent avec clarté, et c’est un plaisir de redécouvrir un classique de la littérature toujours aussi actuel et foisonnant. Graphiquement, l’œuvre se distingue par une grande intelligence et un style personnel qui ne cherche pas à flatter le lecteur, mais l’emmène sur son propre terrain : celui d’une expressivité redoutable, qui fait mouche à chaque planche. Une des adaptations les plus réussies que vous pourrez dénicher, quel que soit le support !
DESTRO (SEIGNEUR DE GUERRE) : LES ARMES ET L'ARGENT, NERF DE LA GUERRE
Dan Watters rempli convenablement sa mission et fait ce qu'il doit pour rendre l'album intéressant. Nous saisissons très bien quels sont les enjeux et la manière dont la guerre perpétuelle est absolument nécessaire à tous ceux qui fabriquent les armes. Même lorsqu'ils sont concurrents, même lorsqu'on a l'impression que ce qu'ils voudraient le plus, c'est s'éliminer réciproquement, il est bien évident que le processus ne peut jamais prendre fin et qu'il faut toujours que la menace soit réévaluée à la hausse pour produire de nouvelles merveilles technologiques destructrices. La prochaine étape, par exemple, c'est forcément l'intelligence artificielle, ici avec un satellite capable de prendre des décisions autonomes. Destro représente tout cela, le type foncièrement dingue mais en réalité extrêmement lucide sur l'activité professionnelle qu'il s'est choisi, ce qui le pousse à contracter des alliances avec des gens qu'il devrait haïr, normalement. Il est aussi un peu pathétique, muré dans sa solitude et caché derrière son masque, un peu à la manière de Fatalis. C'est sur la tombe de ses ancêtres qu'il va se recueillir lorsqu'il a besoin de réfléchir aux événements et qu'ils se sent probablement ballotté, pris entre plusieurs feux, dans la nécessité de devoir choisir son camp. Du côté du dessin, Andrei Bressan s'en sort avec les honneurs, produit des pages qui mettent en scène des explosions, des armes et des antagonistes d'un bout à l'autre. Lorsqu'on regarde ce type de parution, avec un anti-héros principal qui évoquera quelque chose surtout pour les fans hardcore de la franchise G.I.Joe, on se pose tout de même la question de savoir comment ce titre pourra se démarquer, au milieu de l'océan des sorties actuelles. L'Energon Universe est loin d'être inintéressant mais il multiplie pour l'instant les mini séries, dont certaines centrées sur des protagonistes loin de faire l'unanimité dans le cœur des lecteurs. Je serais bien surpris de voir quels sont les chiffres de vente de ces albums.
ROM : L'OMNIBUS QUE LES FANS ATTENDAIENT DEPUIS QUATRE DÉCENNIES
Le triangle amoureux entre Rom, Brandy et Steve ne se limite pas à un simple artifice narratif, il constitue l’un des moteurs essentiels de l’action. L’intrigue atteint son paroxysme lorsque le fiancé officiel est remplacé par un Spectre noir qui s’apprête à épouser la jeune femme en détresse. Pendant ce temps, le véritable Steve croupit dans une cellule, aux côtés d’un journaliste ayant découvert la vérité sur ces créatures extraterrestres grâce à ses photographies. Bien sûr, le prisonnier parvient à s’évader de manière rocambolesque et interrompt la cérémonie in extremis, sauvant ainsi sa promise d’une union contre nature. Ce mariage à tout prix soulève d’ailleurs bien des interrogations : pourquoi les Spectres noirs tenaient-ils tant aux épousailles ? Leurs objectifs semblent pour le moins étranges pour des entités venues des confins de l’espace. Dans les pages de ce premier omnibus (le premier d’une trilogie prévue), on croise également d’autres personnages de l’univers Marvel, bien qu’ils tardent à réaliser l’ampleur de la menace et donc à intervenir. Au début, seuls des seconds couteaux, comme le Penseur Fou ou un jeune Valet de Cœur, croisent la route de Rom. Mais très vite, des figures plus notables apparaissent, notamment les X-Men (ensuite Nova, ou Galactus), impliqués dans un arc narratif tragique en deux épisodes. Ces derniers se retrouvent confrontés à une créature hybride, née de l’union contre nature d’un Spectre noir et d’une Terrienne. Comment deux espèces aussi dissemblables ont-elles pu engendrer une telle progéniture maléfique ? Mystère. Toujours est-il que cela s’est bel et bien produit. Rom joue habilement la carte du récit conspirationniste. D’abord, parce que les humains sont incapables de percevoir les Spectres noirs à l’œil nu. Ensuite, parce que ces derniers ont infiltré les plus hautes sphères du gouvernement, rendant impossible toute distinction claire entre alliés et ennemis. À chaque page, le doute plane : qui est digne de confiance ? Qui est un traître ? Qui tire réellement les ficelles ? Bill Mantlo mène cette intrigue d’une main de maître, d’autant plus que nous sommes au début des années 1980, une époque où l’imaginaire et l’émerveillement prenaient le pas sur toute exigence de réalisme. L’objectif était avant tout de proposer une bande dessinée divertissante, horrifique et pleine de rebondissements. Peu importait si la science ou la logique venaient contredire certains coups de théâtre ! Le dessinateur de ce premier omnibus est Sal Buscema, petit frère de John Buscema et artiste injustement sous-estimé, malgré son empreinte indélébile dans l’histoire de Marvel. Son style nerveux et anguleux est parfaitement adapté à un récit où les personnages sont constamment traqués, choqués, acculés. Il excelle dans la transmission des émotions fortes, insuffle à chaque planche une tension latente et une expressivité vibrante. Même lorsqu’il est contraint de travailler à un rythme effréné, au détriment du soin apporté aux détails, son talent reste indéniable. À la fin de l’ouvrage, on retrouve également des récits complémentaires intitulés Saga of the Spaceknights, qui, en cinq pages à chaque fois, reviennent sur les premières années de lutte de Rom et de ses compagnons, notamment Starshine et Terminator. Ces deux guerriers, symbolisant respectivement la lumière et l’ombre, l’accompagnent depuis le début de sa grande mission. Il aura fallu attendre quatre décennies pour voir enfin cette épopée publiée en intégralité dans de beaux albums en librairie. Jusqu’ici, toutes les tentatives de compilation avaient été compromises par des problèmes de droits, rendant la réédition des plus de 70 épisodes extrêmement compliquée. Dès la sortie de ce premier omnibus chez Panini, des critiques ont cependant émergé concernant la qualité de la traduction. Jérémy Manesse a en effet choisi de franciser tous les noms de personnages : ainsi, Starshine devient Lumina, et Deathwing se transforme en Morte-Aile. Un choix curieux, surtout pour un lectorat majoritairement nostalgique. Cela mis à part, la traduction ne comporte pas d’erreurs majeures ni de coquilles flagrantes, même si quelques fautes se glissent ici et là. Si vous envisagiez d’acheter cet ouvrage, il n’y a donc aucune raison de vous en priver, d’autant plus que les épisodes publiés à l’époque dans le magazine Strange avaient été massivement censurés et imprimés sur un papier de qualité indigne. La série avait même fini par être purement et simplement abandonnée. Aujourd’hui, les temps ont bien changé pour les comics en France, et c’est tant mieux. Le grand shoot de nostalgie hivernal nous vient de Galador, et on aurait tort de bouder notre plaisir !
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AUCUNE TOMBE ASSEZ PROFONDE : LE WESTERN MACABRE DE YOUNG ET CORONA
GONE : UN TITRE DSTLRY SIGNÉ JOCK (CHEZ DELCOURT)
Quoi qu’il en soit, Abi ferait bien de prendre son mal en patience, car le voyage ne fait que commencer et les années vont défiler. Coincée dans cet immense vaisseau, elle va devoir explorer ses moindres recoins labyrinthiques pour survivre, tout en apprenant à composer avec ses dangereux compagnons d’infortune… En refermant l'album, une évidence s'impose : Jock est indéniablement un bien meilleur dessinateur que scénariste. La partie graphique de Gone est particulièrement intéressante et refléte le style caractéristique de l’artiste ainsi qu’une ambition notable : celle de représenter toute la géographie d’un immense vaisseau intergalactique. Elle met également à l'honneur une jeune héroïne dont l’évolution est retracée à trois moments distincts de son existence, avec trois visages sensiblement différents. C’est principalement son œil droit et une cicatrice qui permettent de marquer chaque étape de son parcours. En revanche, Jock peine à convaincre en tant que scénariste. D’une part, le récit souffre de certaines zones d’ombre qui le rendent parfois difficile à suivre. D’autre part, il recourt à des facilités scénaristiques, comme ce mystérieux virus qui se propage soudainement sous forme de gaz dans le vaisseau, sans que l’on comprenne réellement sa nature ni son utilité, si ce n’est pour éliminer un grand nombre de personnages. Ces derniers, d’ailleurs, manquent souvent de profondeur et sont introduits de manière trop sommaire, y compris lorsque le récit tente de dévoiler les liens familiaux qui structurent ce space opera. Au final, on ressort avec une certaine frustration : ce qui, sur le papier, s’annonçait comme une proposition diablement séduisante s’effiloche en cours de route, pour ne devenir qu’un récit de science-fiction correct, sans plus. Cela dit, l’édition proposée par Delcourt est absolument splendide : le format, la qualité du papier et les adaptations des récits de DSTLRY comptent parmi les plus belles réalisations de ces derniers temps.
La communauté des fans de comics et de BD vous attend :
UNIVERSCOMICS LE MAG 50 - FEVRIER 2025 (CAPTAIN AMERICA)
Le mensuel #comics #BD gratuit.
#lire en ligne ou téléchargez ici : https://madmagz.app/fr/viewer/6781965a9b27d8001447366a
Lien direct avec les 50 mag dispos : https://www.facebook.com/groups/universcomicslemag/files/files
Au sommaire, #captainamerica et toutes ses déclinaisons, un dossier sur le #SwampThing de Wein puis de Moore, Le cahier critique et les sorties du mois (on file cette fois chez Éditions Dupuis Delirium Panini Comics France Petit à Petit Ankama Editions Éditions Soleil Éditions Delcourt ), l'actualité de la BD avec le podcast #lebulleur , un petit portfolio hommage à #Rahan et le preview de #redhulk #1 chez #marvelcomics
Merci tout particulier au graphiste héroïque #benjamincarret pour tout le travail et toute l'aide apportée.
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FAN MAN : L'HOMME AU VENTILO (UN TRIP CHEZ PETIT À PETIT)
Nous voici donc devant la nouvelle bande dessinée réalisée par la fine équipe de R.I.P. (Gaet's et Julien Monier), publiée chez Petit à Petit, destinée à créer l'événement en cet hiver pluvieux. Elle met en scène un personnage (Horse Badorties) qui a dépassé depuis longtemps la frontière de ce que l'on appelle la clochardisation. Il vit dans un appartement totalement insalubre où les immondices se sont entassés depuis des années, où plus rien ne semble être vraiment à sa place, au point qu'il est aisé de confondre l'évier avec un simple fauteuil. Il en est de même pour la propreté corporelle et les tenues vestimentaires du personnage, qui sont assez improbables et faites de bric à brac, avec beaucoup d'imagination, de sorte qu'une rallonge électrique peut servir de ceinture, un serpent en caoutchouc de cravate, ou qu'il se balade avec deux chaussures différentes. Et lorsqu'il sort dans les rues de New York, pour déambuler entre les quartiers de Greenwich Village et de Chinatown, en passant par Central Park, notre quasi vagabond se balade avec un ventilateur à piles à la main, qui l'accompagne dans ses pérégrinations. Sorte de doux rêveur qui interprète la réalité selon ses fantasmes, Horse Badorties est donc un type qui ne ferait pas de mal à une mouche, mais qui clairement semble vivre en marge de la normalité qui l'environne. Nous sommes bien entendu dans les années 1970 et c'est l'époque de la contre-culture, de la fumette facile, de l'exaltation de la marge comme mode de vie parallèle, et Badorties représente exactement tout cela. Lorsqu'il est dans les rues, c'est pour se lancer à la recherche de jolies filles, les "poulettes" comme il les appelle, à qui il propose de participer à une chorale de l'amour dans une église, en vue d'un concert qui doit se tenir à Central Park. Et bien entendu, toute cette inspiration musicale, il la trouve dans le bruit des hélices de son petit ventilo, un objet fétiche qu'il propose à tous les commerçants de la ville avec qui il a l'occasion de converser, et qui est aussi un instrument de musique mystique dont les sons vibratoires lui transmettent des rêves de beauté et d'harmonie. Bref, ne cherchez pas spécialement à comprendre, le type ne vit pas sur votre même plan d'existence, il a le sien, qui lui est propre.
LE PODCAST LE BULLEUR PRÉSENTE : LES MÉMOIRES DE LA SHOAH
- La sortie de l’album Mon ami Kim Jong-Un que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
- La sortie de l’album Fan Man, adaptation du roman de William Kotzwinkle que l’on doit au duo Gaet’s au scénario et Julien Monier au dessin et c’est sorti aux éditions Petit à petit
- La sortie de l’album Les jardins invisibles que l’on doit à l’auteur Alfred et qui est édité chez Delcourt
- La sortie de l’album Première dame que l’on doit au scénario de Didier Tronchet, au dessin de Jean-Philippe Peyraud et c’est sorti chez Glénat dans la collection 1000 feuilles
- La sortie de l’album Anzuelo que l’on doit à l’autrice espagnole Emma Rios, un album sorti aux éditions 404 graphic
- La réédition en version colorisée dans son édition d’origine du Lotus bleu, la cinquième aventure de Tintin que l’on doit à Hergé et qui est éditée chez Casterman en collaboration avec les éditions Moulinsart.
SHADOWLAND : LA CHUTE DE DAREDEVIL
C'est là le hic. La descente aux enfers de Matt est trop vite expédiée. Voilà, il est devenu impitoyable, un meurtrier, c'est comme ça, acceptez-le ou changez de lecture. Ah non, pas tout à fait… il est possédé. Du coup tout est permis. Même de considérer qu'il est normal de voir Foggy Nelson tenter de venir à la rescousse en escaladant un mur comme s'il avait été mordu par une araignée radioactive, ou que Murdock se retrouve représenté sous la forme d'un démon désarticulé à qui il pousse des cornes. Dire que tout avait commencé, sous Bendis, par un polar froid et glaçant, emprunt d'un réalisme confondant… Là, tout est prétexte à écrire ou dessiner n'importe quoi, même si le costume noir de DD, au final, je le trouve assez seyant et angoissant (les dessinateurs sont bons finalement, avec un Billy Tan et un Roberto De La Torre assez classieux). D'ailleurs, il aurait fallu voir venir la chose de loin : à chaque fois que Marvel perd les pédales et ne sait plus quoi raconter ou comment finir une histoire qui est allée trop loin, on nous ressert les artifices magiques (le Punisher en a fait les frais tout récemment). Un peu comme lorsqu'il avait fallu effacer l'identité publique de Spider-Man, quitte à bousiller un mariage et des années de croissance pour un personnage qui avait enfin atteint la maturité. Ici tout est clinquant, rutilant, cherche à faire de l'esbroufe et épater la galerie, mais le quotient de crédibilité de Shadowland, et sa capacité à séduire un public habitué aux aventures de Daredevil, le héros qui ne connaît pas la peur ni l'idée de renoncer à lutter, est proche de zéro. Daredevil sombre dans le mal, et le scénario lui s'abîme dans la bêtise. On ne remerciera jamais assez Mark Waid pour avoir su ramener Murdock en surface, après ce qui ressemblait fort à une noyade dans un verre d'eau.
ABSOLUTE POWER TOME 1 : AMANDA WALLER CONTRE L'UNIVERS DC COMICS
Quand on pense que cela fait des décennies que les plus grands super-vilains s'organisent et échafaudent les plans les plus absurdes po...
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Comme chaque samedi désormais, nous vous proposons de plonger dans l'univers de la bande dessinée au sens le plus large du terme,...
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WORLD WAR HULK (Marvel Deluxe - Panini) A l'occasion de la sortie (avant les fêtes, bien entendu) du Marvel Deluxe consacré à...
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UNIVERSCOMICS LE MAG' 46 Octobre 2024 / 60 pages / gratuit Disponible ici (lecture + téléchargement) : https://madmagz.app/fr/viewer/...