La guerre fait rage à Gotham. Deux des principaux ennemis de Batman en sont à se déchirer, et la ville est prise entre deux feux, en otage de ces deux cinglés qui non seulement veulent asseoir leur domination personnelle, mais aussi se débarrasser du Dark Knight. Le Joker et le Riddler sont des meurtriers de sang froid, et si l'un préfère les blagues, l'autre se complaît dans les énigmes : ce sont les citoyens qui souffrent, avec une cité divisée en deux factions. Tout le monde perd, à ce jeu là, y compris Batman, qui va devoir trouver une autre solution que la violence aveugle ou de bons vieux batarangs dans la mâchoire, pour mettre un terme aux hostilités.
Et si finalement c'était Bruce Wayne qui détenait la clé de ce déferlement de folie?
Il faut comprendre aussi que ces épisodes sont censés se dérouler dans le passé, un an seulement après le début de la croisade de Batman. C'est Bruce en personne qui les évoque, au saut du lit, à une Selina Kyle qu'il a demandé en mariage, et qui mérite donc de connaître certains moments obscurs de la carrière du héros, dont il n'a pas à être trop fier.
Tom King sait où il va, et prend son temps. Avant de célébrer une union inattendue entre les deux amants, il convenait de passer un peu de temps à creuser dans le passé des époux, pour en tirer de jolis moments "oubliés"
De plus, Mikel Janin est comme toujours presque irréprochable, avec des planches plastiquement très soignées, qui trouvent un écho à la hauteur dans celles livrées par Clay Mann, qui lui gère deux petits interludes donnant la part belle à Kite Man, l'homme cerf volant, dont l'histoire est aussi pathétique que tragique.
Et si finalement c'était Bruce Wayne qui détenait la clé de ce déferlement de folie?
Il faut comprendre aussi que ces épisodes sont censés se dérouler dans le passé, un an seulement après le début de la croisade de Batman. C'est Bruce en personne qui les évoque, au saut du lit, à une Selina Kyle qu'il a demandé en mariage, et qui mérite donc de connaître certains moments obscurs de la carrière du héros, dont il n'a pas à être trop fier.
Tom King sait où il va, et prend son temps. Avant de célébrer une union inattendue entre les deux amants, il convenait de passer un peu de temps à creuser dans le passé des époux, pour en tirer de jolis moments "oubliés"
De plus, Mikel Janin est comme toujours presque irréprochable, avec des planches plastiquement très soignées, qui trouvent un écho à la hauteur dans celles livrées par Clay Mann, qui lui gère deux petits interludes donnant la part belle à Kite Man, l'homme cerf volant, dont l'histoire est aussi pathétique que tragique.
Violent et dingue à souhait per endroits, ce tome 4 de la série Rebirth est aussi l'occasion de voir un Riddler relooké et qui monte en puissance, au point d'en devenir vraiment, mais vraiment, une sorte d'avatar logique et implacable du Joker. Décidément, il ne fait pas bon vivre à Gotham, dans ces conditions...
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